Retrouvez nous aussi sur

0

PARTAGES

Tweeter

VUES

3 théories scientifiques qui tentent d'expliquer l'infidélité

Publié dans par La Rédaction
A défaut d'afficher nos publicités tu peux nous aider en partageant.

"Ce n'est pas de ma faute, c'est mon gène qui est défectueux" Robert, infidèle

La science a-t-elle réponse à tout ? Peut-elle expliquer tous les phénomènes, même les côtés les plus bestiaux des êtres humains ? Par exemple, pensez-vous que grâce à la science, on peut expliquer pourquoi certaines personnes sont plus infidèles que d'autres ? Certains pensent que non, d'autres sont persuadés que si. Et vous ?

 

Pour tenter de se faire un avis sur la question, voici 3 théories scientifiques qui tentent d'expliquer rationnellement les raisons qui pousseraient une personne plutôt qu'une autre à tromper celui ou celle qu'elle aime.

 

Sommes-nous inégaux devant la perception de ce qui est bien ou mal ? Lisez l'article bien attentivement, et donnez-nous votre avis à la fin.

 

couple plus une femme

Source photo : getty images

 

Mais tout d'abord, une petite statistique : aux Etats-Unis, 91% des personnes interrogées considèrent que tromper est quelque chose de mal. Sauf que 30% des personnes interrogées ont déjà été infidèles...

 

Théorie anthropologiste : les humains ne sont pas faits pour la monogamie

 

"Si un zoologue martien venait sur Terre, il conclurait sans l'ombre d'un doute que l'espèce humaine n'est pas monogame", nous explique le Dr David Barash, enseignant en psychologie. La monogamie n'est pas consubstantielle à l'espèce humaine, c'est une chose apprise. 

 

Être fidèle, ça s'apprend. La fidélité, c'est une question de pratique et de priorité à l'heure de prendre des décisions importantes.

 

Théorie génétique : le maudit héritage

 

Ton patrimoine génétique détermine autant la couleur de tes yeux que tes capacités cognitives, autant ta taille que ta réaction au stress. Et il pourrait aussi expliquer ta manière de gérer la fidélité, ou l'infidélité.

 

Le gène DRD4 est responsable car il est impliqué dans la production de la dopamine, l'hormone qui stimule le cerveau lorsqu'on éprouve du plaisir. Selon les scientifiques, les personnes ayant un gène DRD4 avec de longues allèles ont deux fois plus de chances d'avoir des rapports d'infidélité.

 

Ce n'est pas tout. La génétique incrimine aussi un autre gène, AVPR1A, comme responsable de l'infidélité... Ce gène génère la vasopressine, responsable de la confiance, l'empathie et l'union sexuelle.

 

Théorie cérébrale : une lutte entre trois désirs différents

 

Selon Helen Fisher, anthropologue et biologiste, le cerveau humain est découplé en trois systèmes différents en ce qui concerne "l'accouplement".

 

Ces systèmes contrôlent les variables liées au désir sexuel, au sentiment d'amour et au sentiment d'union profonde. Le problème se pose lorsque ces trois systèmes ne fonctionnent pas dans la même direction et ne sont pas adressés à la même personne. C'est le début du chaos. Et l'infidélité peut alors pointer le bout de son nez...

 

La prochaine fois que vous faites l'erreur de tromper votre partenaire, rappelez-vous de ces trois points. Au moins vous aurez trois alibis scientifique en béton ! (lol)

 

Alors, qu'en pensez-vous ? La science explique-t-elle pourquoi certaines personnes sont plus connards trompeuses que d'autres ?

 

Si cet article vous a plus, partagez-le et likez notre page Facebook pour d'autres articles drôles et engagés !

 


 

 Bonus vidéo : Sa copine le trompe, il la largue en simulant une demande en mariage

 

 

publié dans

amour

A défaut d'afficher nos publicités tu peux nous aider en partageant.

Tweeter

Partager

COMMENTER AVEC FACEBOOK

rejoignez nous sur facebook

Nous écrivons des articles comme celui-ci tous les jours !

pausecafein
Pausecafein
^