Quelle belle histoire !
Bernard Le Coq balance tout sur l’adoption de l’enfant de sa dulcinée
Par Modifié le 26/01/2023 à 14:21
Derrière son beau sourire, Bernard Le Coq cache une angoisse, celle de ne pas pouvoir être père. Qu’à cela ne tienne, il a une autre idée !
La double peine de Bernard Le Coq
Tel que l’atteste ce montage, on aurait aimé assister aux tournages du feuilleton mythique. Si vous voulez obtenir les dernières informations croustillantes sur le casting, Pausecafein vous suggère de cliquer sur ce lien. Quant à Bernard Le Coq, il a vraiment du mal à tirer un trait sur cette belle aventure. La preuve, lors du décès du créateur de la série, il est inconsolable. "Je ne peux pas me remettre de cela en me disant que l’on va faire une espèce de suite. […] C’est quelque chose qui a été tellement magnifique parce qu’on l’a fait tous ensemble, que je ne me vois pas continuer maintenant qu’il est parti".
Bernard Le Coq, toujours amoureux de la même femme !
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Pendant toutes ces années, la chérie de Bernard Le Coq n’avait pas intérêt à être jalouse de sa partenaire à l’écran. Pétillante, bienveillante, Anny Duperey possède tous les ingrédients d’une grande dame. Conscients du privilège de s’être donné la réplique durant tant de décennies, ils conservent ce lien indéfinissable, mais surtout indéfectible !
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En coulisses, Martine a également dû partager son homme avec ses nombreuses inconditionnelles. De son côté, il aime à définir son couple de cette manière. "Il faut pour cela beaucoup de patience, s’aimer beaucoup, se pardonner beaucoup, s’aider, s’admirer. Tout un tas de paramètres qui font que ça tient […]" Et s’il devait résumer ce demi-siècle de passion avec la présidente de son fan-club, il dirait qu’ils sont presque toujours sur la même longueur d’onde. "On est assez philosophes, on s’engueule parfois et, très vite, on s’arrête", avait-il déclaré.
Tout sur son fils de cœur
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Invité chez Jordan de Luxe, Bernard Le Coq va lâcher une b*mbe. "J’ai un grand garçon, qui est le fils de Martine, que j’ai élevé. Je l’ai adopté il y a trois ans maintenant, c’était épatant de l’avoir (…) Tout le monde pensait que c’était un enfant en bas âge. Je disais : 'Je vais le chercher à l’école, je lui fais faire ses devoirs' [sauf qu’il] est chercheur au CNRS". Amusé par ce paradoxe, il rajoute : "Ça n’enlevait pas les relations qu’il pouvait avoir avec son père, qui est décédé depuis". Fier d’avoir réussi ce défi de taille, il est heureux que "[leur] lien [se renforce ainsi] d’une manière plus officielle".
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Dans l’impossibilité d’avoir un enfant, Bernard Le Coq lève une partie du mystère. "C’était une incapacité physique, ça n’a pas fonctionné. Comme celui-là était parfait, je me suis dit que ce n’était pas la peine de s’énerver […]" Haussant les épaules, cet éternel optimiste conclut en ces termes. "J’essaie de voir les choses avec un peu de légèreté et de recul ".