Un tueur d’enfant torturé et violé en prison. L’horreur est humaine !

Un tueur d'enfant a été violé, puis torturé en prison après avoir été accusé d'avoir battu, violé, et tué le fils de sa compagne, âgé d'un an et huit mois.

Plusieurs rapports de police relatent l'histoire du tueur d'enfant Daryell Dickson Meneses Xavier, un professeur d'arts martiaux qui s'était rendu aux autorités après avoir tué son beau-fils. Il a été défendu par un avocat.

Voici une traduction de la conférence de presse donnée par la police :

L'enfant a été hospitalisé le 27 septembre à l'hôpital d'Anchieta, Wansbeck et est décédé deux jours plus tard. On a dit aux médecins qu'on avait laissé tomber l'enfant. Les rapports de police, après enquête, ont révélé que ses blessures n'était cependant pas cohérentes avec l'hypothèse de la chute.

Ses blessures proviennent d'un traumatisme violent, avec beaucoup de force que seule une personne avec une forte poigne et une connaissance des techniques d'arts martiaux comme le beau-père aurait pu infliger. Il apparaît aussi que l'enfant présentait une déchirure anale, mais puisque ce genre de blessures aurait pu être provoquée par de la constipation, il n'est pas certain que l'enfant ait été victime d'abus sexuels.

Pourtant, après s'être rendu, Daryell a été mis en prison où il a été la cible de plus de 20 détenus :

Daryell Xavier a été violé par plus de 20 prisonniers. Il avait des blessures sur tous le corps, dont les plus sérieuses se trouvaient au niveau de l'anus. Insatisfaits et toujours furieux à propos de l'acte commis par le professeur d'arts martiaux, ils ont arraché ses points de suture et l'ont de nouveau violé. Les traces de sang sur le short du jeune homme sont une preuve de la souffrance qu'il a éprouvée.

Attention, l'image qui va suivre est extrêmement déplaisante, on peut y voir Xavier juste après son agression.

Nous conseillons aux personnes sensibles de ne pas la regarder.

La justice n'a pas encore rendu son verdict et même si Daryell Xavier s'est rendu aux forces de l'ordre pour le meurtre du petit garçon, rien ne prouve qu'il l'a violé. Et même si c'était le cas, on sait bien que l'on ne combat pas le mal par le mal et que ce n'est pas comme cela que les choses s'arrangent.

Espérons que la justice saura suivre son cours dans ce climat électrique où il y a une seule grande perdante : l'espèce humaine...