Même Madame Irma n’aurait pas pu prédire le terrible sort de Mark Zuckerberg. Accrochez-vous, ça va piquer !
Est-ce la fin de l’empire Mark Zuckerberg ? Ses employés sous le choc !
Depuis la création de Facebook, Mark Zuckerberg rivalise d’ingéniosité pour se démarquer. Or, cette fois, il a été trop loin !
Mark Zuckerberg nage en plein cauchemar
Facebook devient "Meta" : quatre questions sur un changement de nomhttps://t.co/tlQDxo1Qz5 pic.twitter.com/IkXmXEGUYm
—franceinfo (@franceinfo) October 29, 2021
Pendant la pandémie, peu d’entreprises arrivent à tirer leur épingle du jeu. Or, pour Mark Zuckerberg, c’est le jackpot. Celui qui s’appelait encore Facebook multiplie par deux son bénéfice. Et attention, dans ce cas, Pausecafein s’exprime en valeurs nettes et non pas en brutes. Ces fameux 9,5 milliards de dollars nous semblent astronomiques. Sans comprendre le pourquoi du comment, le créateur a une lubie. Deux décennies après avoir débarqué dans nos vies, il transforme le nom du réseau social. Désormais, ce sera… Meta ! À l’instar d’un changement de propriétaire, ce bouleversement affecte les inscriptions. Pire encore, le chiffre évoqué plus haut fond comme une glace en pleine canicule. Et c’est loin d’être fini !
Clap de fin pour les réseaux sociaux ?
Elon Musk, le nouveau patron de Twitter depuis jeudi dernier, a annoncé le licenciement de 50 % de ses 7 500 employés. Le trublion de la tech, patron de Tesla et Space X, a une vision de la plateforme qui inquiète ses employés, mais aussi les utilisateurs de Twitter. pic.twitter.com/FIJZ5YHn25
—First Mag🗞️🚩 (@FirstMagLeVrai) November 5, 2022
Lorsqu’Elon Musk a fait part de sa volonté de racheter Twitter, ça a fait grincer des dents. Certes, comme l’atteste cet article, ce n’est pas son seul coup d’éclat. Or, une fois à la tête de l’oiseau bleu, il licencie 7 500 employés. Aussi extravagant que ce geste puisse paraître, une série de mesures similaires se répand sur la Toile. Tel que pouvaient le redouter les économistes, Mark Zuckerberg va malheureusement suivre le pas de son rival.
Mark Zuckerberg despide a 11 mil empleados de Meta:
“He decidido reducir el tamaño de nuestro equipo en aproximadamente un 13 %” pic.twitter.com/UQKfNRfNGU—Mauro Albornoz (@Mau_Albornoz) November 9, 2022
Face au comité de direction, Mark Zuckerberg courbe l’échine. Depuis 2004, celui qui détenait l’une des plus grosses fortunes du Web rivalise d’ingéniosité pour maintenir le navire Facebook/Meta à flot. Malheureusement, ses efforts n’ont pas suffi. Attention, il ne compte pas jeter la pierre aux salariés de l’entreprise puisqu’il s’attribue un énorme de responsabilités dans ce tsunami. Après avoir décrypté son communiqué de presse, les spécialistes 2.0 détectent l’argument de la chute libre des métaverses. Est-ce que cela va suffire pour convaincre de sa bonne foi ? Le mystère reste entier !
Et là, pour Mark Zuckerberg, c’est le drame !
BREAKING: Meta CEO Mark Zuckerberg says the company will cut 13% of jobs affecting more than 11,000 employees, the first major round of layoffs in the social media giant’s history https://t.co/heUXkZEQPL pic.twitter.com/yFg8tZbI0i
—Bloomberg (@business) November 9, 2022
Début octobre, toutes filiales confondues, la planète de Mark Zuckerberg employait 87 000 personnes. Au bord des larmes, il annonce n’avoir pas le choix de se séparer d’un quart d’entre eux. Comme un malheur n’arrive jamais seul, il provoque un bouleversement dans les marchés financiers. Oups, ça promet pour la suite !
#Meta shareholders have finally risen from the dead and started asking Mark Zuckerberg about the Мetaverse. For example, is it really worth investing $15 billion a year in Horizon Worlds when shares fell 61% in 2022, three times faster than the fall of the US Top 500 companies? pic.twitter.com/6aP5WyKVGz
—FRYYPTA (@fryypta) November 2, 2022
Qu’on se le dise, Horizon Worlds, ce n’est pas franchement une réussite. En réalité, ça ne serait que l’arbre qui cache la forêt. Preuve étant, en coulisses, on murmure que les créateurs de ce monde virtuel déplorent un nombre astronomique de bugs. À tel point qu’ils ne s’y connectent que rarement. De son côté, Mark Zuckerberg a du mal à colmater les brèches. « Nous affrontons un environnement macroéconomique instable, une concurrence [intensifiée], des problèmes de ciblage publicitaire et un accroissement des coûts ». Rien que ça ! Suite dans le prochain numéro de Pausecafein.