Une étude établit un lien entre la taille du p*nis et les voitures de sport.
Existe-t-il un rapport entre les voitures de sport et la taille du p*nis ? Cette étude a tranché
La légende disait, donc, vrai ? Cette étude britannique a été menée sur des hommes de tout âge, afin de vérifier la fameuse corrélation entre la taille du p*nis et les voitures de sport. Messieurs, si vous n’avez pas confiance en la taille de votre attribut, ne lisez pas cet article !
Grosse corvette, petite quéquette !
Avouons-le, c’est bien la première chose qui nous traverse l’esprit quand on voit un homme au volant de sa grosse cylindrée. On ne peut s’empêcher de se demander si le propriétaire de cette grosse Ferrari ne souffrirait pas, en réalité, d’un “problème de taille”. Il semble que la science est enfin en mesure de répondre à cette question.
C'est vérifié, nous ne sommes pas simplement jaloux de ces hommes. La science donne raison aux rageux, en établissant une corrélation directe entre taille du p*nis et gamme de la voiture. C’est du moins ce qu’affirment des chercheurs de la très prestigieuse University College of London (UCL). Ils ont mené des tests psychologiques sur un échantillon de 200 hommes, âgés de 18 à 74 ans. Les résultats de l’étude font apparaître une tendance claire. Il existerait bien une relation de causalité entre petit p*nis et grosse voiture qui rugit.
Titled “Small Penises and Fast Cars: Evidence for a Psychological Link,” the study was conducted at a #LondonUniversity and has yet to be peer-reviewed, but purports to connect the belief that one’s penis is small with an attraction to #sportscars. #kiddaan #men #carlovers pic.twitter.com/58xw5JFB8O
— Kiddaan.com (@KiddaanCom) January 14, 2023
Greta Thunberg l'avait prédit. Elle avait remis en cause la taille de l’engin du combattant UFC Andrew Tate, sur Twitter. Pour rappel, le "masculiniste" s’était vanté de son impressionnante collection de voitures de sport très polluantes, en taguant la jeune écolo. Cette dernière n'a pas hésité à répliquer en le renvoyant à sa taille d'engin. Bien évidemment, Andrew Tate n’a pas pris part à cette étude, et quand bien même, nulle ne saurait s'il correspond aux conclusions de l'enquête. Enfin, à part ses ex !
Une méthodologie originale
Mais, au fait, comment a-t-on procédé pour établir ce tel ? Le rapport de l’étude, qui s’intitule très sobrement Small P*nises & Fast Cars, expose une méthodologie originale. Les chercheurs ont commencé par donner de fausses informations à ces hommes sur la taille moyenne du p*nis des autres hommes. L’un des chercheurs ayant pris part à cette étude explique. “On a donc manipulé l’estime de soi en faisant croire à certains participants que la taille moyenne d’un pénis était de 18 centimètres, tandis que d’autres ont appris qu’elle était de 10 centimètres. La réalité se situe autour de 13 centimètres”.
On a ensuite demandé à ces hommes de réagir à des déclarations et à des images de produits plus ou moins luxueux. Ainsi, lorsqu'on fait croire à un homme que la taille moyenne d’un p*nis est de 18 centimètres, il y a plus de chances qu’il qualifie une voiture de luxe de "hautement désirable". Bien sûr, d’autres facteurs, tels que la santé physique et les finances personnelles, ont été intégrés à cette étude. Toutefois, aucun de ces autres facteurs n’a pu être corrélé au désir de posséder une grosse voiture. Autrement dit, aucun autre élément, hormis taille du p*nis, ne serait lié au désir d’avoir une grosse bagnole.