Cette étude venue tout droit du Texas va en surprendre plus d’un !
Une étude scientifique révèle l’identité de la femme parfaite. Elle existe !
Beaucoup de gens pensent que la femme parfaite n'existe pas. Chaque femme est belle à sa façon. Chaque femme est unique. Et pourtant certains scientifiques de l'université du Texas pensent autrement.
La femme parfaite a un nom
Source photo: Purepeople
Mais comment ces goujats se sont débrouillés pour arriver à dénicher la femme parfaite ? Une seule solution. Vous prenez tous les standards de chaque pays et vous mélangez le tout.
En effet, nos hommes de science ont pris en compte les traits les plus attirants pour les hommes dans chaque culture. Ils les ont combinés ensemble en prenant compte les goûts les plus communs à tous les hommes.
Et ils ont finalement trouvé une femme qui répond parfaitement à ces exigences mondiales. Son nom ? Kelly Brook
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Et pourquoi cette charmante dame ?
Plusieurs critères physiques rentrent en jeu selon leur étude. En voici quelques-uns :
Les cheveux : La jolie Kelly Brook est affublée d'une chevelure longue et ondulée. Ce qui dans beaucoup de cultures est un signe de grande beauté et de bonne santé.
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Le visage : Le docteur Ben Jones de l'université d'Aberdeen qui s'est joint aux études a confirmé que les hommes - en général - préféraient un visage rond, enfantin, avec de grands yeux ronds et des sourcils courbés.
La poitrine : Cela dépend du gout de chacun, mais beaucoup d'hommes aiment les poitrines imposantes. Kelly Brook affiche un 85 E naturel et beaucoup de filles seraient sûrement prêtes à passer sur la table d'opération pour obtenir un tel résultat.
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La taille : Selon les études, une femme parfaite a la taille un tiers plus fine que ses hanches. Dans l'idéal, il faut également que la taille fasse les trois quarts de la mesure du buste.
Les hanches : Le ratio entre la mesure des hanches et celui de la taille devrait être de 0,7 (on l'a dit juste au-dessus, vous suivez). Exactement celui de la charmante Kelly.
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On se rend compte que le mannequin semble déjà plus naturelle et accessible que la plupart de ses consoeurs squelettiques que nous montrent les médias aujourd'hui.
Laissons-lui le mot de la fin :
Les femmes dans les années 1950 étaient tellement plus sexy que la plupart des mannequin aujourd'hui. Moi, c'est à cela que je rêve de ressembler. Je me suis toujours dit que ma maman m'avait donné ce visage, ce corps, et je lui en suis reconnaissante. Je ne voudrais en rien essayer de transformer ce qu'elle m'a donné.
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