La crème de la crème des tordus !
8 incroyables histoires de gynécologues qui n’auraient jamais dû exister
1 - Le médecin de l'Arkansas qui prenait des photos de ses patients nus
Un mandat d'arrêt a été émis contre Paul Becton Jr., ce médecin de 68 ans pour 5 vidéos de voyeurisme après qu'une patiente l'ait accusé de photographier ses parties intimes pendant un examen de routine. Becton aurait pris des photos de la « région pubienne et des fesses » sans le consentement de sa patiente le 1er avril 2014.
La police de l'Arkansas a déclaré avoir retrouvé de nombreuses images de femmes nues prises dans son cabinet médical dans le disque-dur du téléphone. Il risque 30 ans de prison.
2 - Le faux gynéco arrêté pour des agressions sexuelles sur Skype
Un Italien prétendant être gynécologue a été arrêté par la police après avoir agressé sexuellement des femmes sur Skype. C'est une jeune femme de 16 ans qui aurait rapporté les faits à la police. Le « médecin » proposait aux victimes une entrevue sur Skype pour « discuter » de leur dossier médical et leur demandait de se masturber.
Une fois que la plainte de la jeune femme déposée, l'agresseur a vite été appréhendé par les autorités.
3 - Le gynécologue qui a aspergé les parties intimes d'une femme d'un composé chimique
En novembre 2013, dans l'Ohio, une femme a accusé le Dr. John Black de l'avoir aspergé de produits chimiques. « Laura » venait pour un examen de routine quand, tout à coup, le médecin aurait éclaboussé sa région vaginale d'un liquide qui provenait d'une bouteille où il était écrit vinaigre. Elle a immédiatement ressenti une intense brûlure. À la vue de sa réaction, Le docteur Black aurait goûté la solution du bout de la langue et aurait aussi ressenti une brûlure.
Pris de panique il a crié : « J'enfreins toutes les règles », et a irrigué la zone touché avec 3 bouteille de solution saline et appliqué une crème pour atténuer la douleur. Le tout... sans gants. Les tests ont révélé qu'il s'agissait d'hydroxyde de potassium, un produit chimique susceptible de décomposer la peau.
La femme et son mari ont poursuivi Black et son employeur, Paragon Health Associates, pour faute professionnelle. Laura connaît des menstruations irrégulières et ne peut plus être intime avec son mari. Elle pense avoir recours à une hystérectomie.
4 – Le gynéco qui aurait eu des rapports bucco-génitaux avec ses patients
En 2013, plusieurs patients ainsi qu'un membre du personnel ont accusé le docteur Robert Hadden d'agression sexuelle. Hadden travaillait au New York Presbyterian/Columbia Hospital.
Les victimes ont décrit les visites médicales comme normales, du moins au début. Une infirmière était présente. Le médecin trouvait une excuse pour se retrouver seul avec la patiente et pratiquer des cunnilingus et d'autres formes de « comportements déviants » aux patientes dont la vue était cachée par des draps. La police confirme la présence d'un rapport sur une agression sexuelle du médecin le 29 juin 2012 mais le dossier a été classé sans suite. Hadden a arrêté de prendre des consultations en septembre 2012.
5 – Le médecin de Chicago condamné à 18 ans de prison pour le viol d'une patiente
Bien que l'agression de Bruce Sylvester Smith ait eu lieu en 2002, il n'a été arrêté qu'en 2010. Le procureur a reconnu qu'une erreur a eu lieu et qu'aucun prélèvement d'ADN n'a été effectué après que la victime a reporté l'agression.
Lors du procès, Smith a martelé que la relation sexuelle était consentie. Cependant d'autres femmes sont venues appuyer les dires de la victime. L'une d'entre elles a déclaré avoir été enlacée par le médecin qui lui aurait dit qu'elle était attirante et qu'il ne comprenait pas pourquoi son mari ne lui faisait plus l'amour alors qu'une autre a déclaré avoir été violée en 2000 par le même gynécologue.
6 – Le médecin accusé de se droguer et de prendre ses patients en photo
Le docteur John Yacoub, gynécologue de Baltimore a vu son permis d'exercer supprimé après avoir été contrôlé en possession de larges quantités de substances dangereuses.
En septembre 2013, la DEA (unité de police chargée de la mise en application de la loi sur les stupéfiants et de la lutte contre leur trafic) a fait une descente dans l'appartement du médecin. Des prescriptions et des traces de cocaïne ont été retrouvées ainsi que des photos de sexes de femmes prises dans son cabinet.
Le docteur Yacoub a été contrôlé positif à la cocaïne aux 2 tests de dépistage auxquels il a été soumis.
7 – Le médecin accusé d'un viol commis il y a 17 ans et pas au bout de sa peine
En 2013, en Caroline du Nord, le gynécologue John Marshall a été accusé d'un viol commis en 1996, après une année d'enquête.
La victime a déclaré aux enquêteurs qu'elle était venue consulter en 1996 pour ce qu'elle pensait être un virus intestinal. Le médecin lui aurait alors affirmé qu'il s'agissait d'un problème dans son appareil reproducteur. Il lui a administré une substance qui l'a laissée consciente mais qui l'empêchait de bouger. Il l'a ensuite violée.
Il a perdu son permis d'exercer en 2011 après avoir touché de façon inappropriée une infirmière. Il a payé une caution 100 000 dollars. L'enquête est toujours en cours alors que les victimes continuent d'affluer.
8 – Accusé de prescriptions excessives, d'agression sexuelle et de fraude
Le docteur Paul Kelty s'est rendu aux autorités de l'Indiana alors qu'il faisait face à plusieurs chefs d'accusation. Plusieurs preuves ont été retrouvées dans son bureau en février 2013. Il aurait prescrit plus d'un million de comprimés antidouleurs à des femmes enceintes sur une période de 3 ans.
Il aurait commis des agressions sexuelles sur de nombreuses patientes et aurait, de façon intentionnelle, obtenu une récompense financière pour un programme médical en falsifiant des documents. Kelty est accusé de 7 chefs d'accusation pour possession d'une substance désignée, 4 chefs d'accusation pour fraude médicale, 4 pour vol, 5 pour agressions sexuelles et 1 chef d'accusation pour agression. Sa caution est de 200 000 dollars.