Vous n’aurez plus peur d’une fessée après avoir vu ça !
19 instruments de tortures qui vont vous terroriser à jamais !
Quand on voit ça, on se sent privilégié de vivre au XXIe siècle !
L'empalement
Le supplice du pal était une exécution rapide et spectaculaire. C'était très douloureux et choquant.
La scie de la torture
Cette méthode de torture consistait à pendre la future victime accusée souvent d'adultère ou de viol à l'envers par les pieds et de la scier en deux moitiés. Normal.
La cage de la torture
Le cercueil (ou cage) de la torture était une sorte de cage dans laquelle était enfermé le torturé. La cage était accrochée en hauteur (arbre, potence) et on laissait le torturé se faire dévorer par les oiseaux, les insectes ou les charognards. Une mort horrible à petit feu.
Le berceau de Judas
C'était l'un des instruments de torture les plus horribles. On plaçait l'anus ou le vagin de la victime - souvent nue - sur la pointe de la sellette de Judas. La victime mourrait peu à peu à mesure que son orifice descendait sur l'instrument et que ses chairs se déchiquetaient... Si elle ne mourrait pas directement, elle mourrait à cause des maladies, car évidemment, ils ne nettoyaient pas l'instrument entre les différents passages.
Le mutilateur de seins
Ces griffes servaient à mutiler et déchirer les seins d'une femme. Souvent, l'instrument était d'abord chauffé à blanc avant d'être appliquées sur les seins de la victime.
Vous avez encore un peu de courage. Venez découvrir un écarteleur en page 2 !
L'écarteleur
Cet objet horrible permettait de disloquer le corps d'une victime de manière méthodique. Un cadre en bois, deux cordes. Le bourreau tournait une poignée et les cordes tiraient les bras et les jambes de la victime… Cet instrument est réputé comme étant le plus douloureux du Moyen Âge.
Le compresseur
C'est le crâne ou les dents de la victime qui étaient attaqués avec ces instruments. Violent.
Le briseur de genoux
Imaginez ces pointes s'enfoncer très lentement dans vos genoux. Cette méthode très utilisée durant l'Inquisistion espagnole ne tuait pas, mais cela changeait votre vie à jamais.
La roue de la rupture (ou roue de Catherine)
Cette méthode prévue pour tuer lentement mais sûrement ressemblait à un jeu, surtout pour le bourreau, qui s'amusait à taper sur les membres de la victime attachée à la roue pour les briser à l'aide d'un lourd marteau en fer.
L'âne espagnol
Vous voyez ces petites pointes ? On asseyait l'accusé sur cette chaise très inconfortable et on lui mettait des poids aux pieds. La personne se mettait donc à se déchirer la peau sur les pointes et mourrait des suites de ses blessures.
Une poire de l'angoisse vous attend en page suivante, venez vite découvrir son utilité !
La chaise de torture
500 à 1500 pointes composent cette chaise de la torture, aussi appelée Chaise de Judas. Il suffisait de demander à la victime de s'asseoir là, de l'attacher et d'attendre gentiment qu'elle se vide de son sang.
La poire de l'angoisse
Aie ! Cette poire de l'angoisse était insérée dans le vagin pour les femmes, dans l'anus pour les homosexuels et dans la bouche pour les menteurs. Puis, elle s'écartait délicatement, mutilant l'accusé de l'intérieur. Mais pourquoi tant de violence ?
L'arracheur de langue
Au Moyen Age, on arrachait les dents, mais aussi les langues ! On n'ose à peine imaginer la douleur que c'était…
L'araignée espagnole
Les phobiques des araignées vont peut être préférer l'animal à cet instrument horrible. Encore une fois, ce sont les seins des femmes qui étaient visés, on leur arrachait après avoir chauffé à blanc les lames. Parfois, on les pendait aussi par les pieds pour accélérer le saignement.
Allez, encore quelques instruments de torture, et on finit sur une note positive en dernière page !
La cisaille de crocodile
Ce petit outil servait contre ceux qui avaient voulu assassiner le Roi. Il servait à arracher les appendices de la victime.
Le taureau sicilien
Ce taureau en métal était utilisé à l'époque grecque pour rôtir les victimes… On plaçait la victime à l'intérieur avant d'allumer un feu en dessous. C'est chaud !
La fourchette de l'hérétique
Avec ça, le torturé était obligé de rester dans le coup ! La fourche supérieure était placé sous le menton, tandis que l'autre fourche était au niveau du bas du cou… La victime doit garder le cou tendu et la tête haute constamment et s'il s'endort, il ne se réveille jamais. Diabolique.
le collier de piques
Fait de bois ou de métal, ce collier était mis aux victimes qui étaient du coup incapables de s'allonger, de s'adosser ou de bouger la tête… Vous imaginez ?
L'arroseur de plomb
On utilisait cet arroseur avec de l'huile ou e l'eau bouillante et on l'aspergeait sur le ventre ou les yeux de la victime. La mort était longue après une belle agonie. On a fini en beauté, n'est-ce pas ?
Clairement une fessée à côté de tous ces instruments de torture, c'est limite un câlin !