Ce genre d’actes ne peut pas rester impuni ! #JutsticePourEli
Internet se mobilise pour Eli, un enfant victime d’agression sexuelle
Eli, un petit garçon de 4 ans a essayé d'avertir le 22 janvier 2019 sa maîtresse qu'il avait été victime d'une agression sexuelle par le directeur du centre de loisirs. Plutôt que de remettre l'affaire entre les mains d'autorité compétentes, la maîtresse a essayé d'étouffer l'affaire et la mairie l'a soutenue pour ne pas que cette histoire fasse de vagues.
Cependant, la mère de l'enfant ayant appris par son fils ce qu'il s'était passé s'est bien entendu immédiatement mobilisée pour que la justice s'empare de cette affaire. Face à l'inaction des maîtresses ou encore de la mairie celle-ci a décidé d'utiliser les réseaux sociaux pour essayer d'obtenir du soutien et réussir à faire bouger les choses.
Voir cette publication sur Instagram#justicepoureli. Je demmande a Instagram de ne pas la supprimer svp que justice soit faite??
Une publication partagée par @ justicepoureli_ le 1 Févr. 2019 à 3 :37 PST
Mais contre toute attente, celle-ci a été condamnée pour diffamation sur une dénonciation imaginaire. Alors bien sûr, la présomption d'innocence est quelque chose de très important mais Internet s'offusque de cette inversion des rôles. Comment peut-on blâmer une mère de s'emporter alors que son enfant dit avoir été victime d'agression sexuelle ? Et à quel moment se retrouve-t-on à condamner cette maman plutôt qu'à ouvrir une enquête pour savoir si cet homme a vraiment agressé Eli et d'autres enfants ?
Heureusement, les internautes soutiennent de tout cœur la maman pour que la justice s'empare de l'affaire et des stars comme Flora Coquerel, ex Miss France ou encore Maître Gims ont partagé cette histoire pour qu'une enquête ait vraiment lieu. On espère de tout cœur que le voile sera levé sur cette affaire et que justice sera faite. #JusticepourEli
Partage cet article à tes proches, il est inadmissible que cette histoire soit oubliée et que cette maman soit condamnée pour diffamation alors que le présumé agresseur s'en sorte aussi vite en disant que les faits sont imaginaires.