Si l'on prête aux jeux vidéo beaucoup de défauts, tels que la possibilité de dépendance, ou de rendre violent, on ne peut négliger le fait qu'ils aient un impact sur le joueur. Ainsi, des sociétés pharmaceutiques le voit comme un moyen non médicamenteux d'aller à l'encontre de certaines pathologies.
Aux USA, Ubisoft vient de faire valider son jeu Dig Rush et Monster Burner par la FDA, soit la Food and Drug Administration, soit en français l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux. ainsi, les médecins pourront désormais y prescrire des heures de jeux vidéos pour les patients atteints d'amblyopie (qui est "L’amblyopie est une différence d'acuité visuelle entre les yeux, qui ne peut pourtant pas être expliquée par une lésion organique").
Mais ces deux jeux ne sont pas les seuls à avoir des vertus médicinales. Ainsi on peut aussi citer :
1. Voracy Fish :
Qui apprend aux victime d'un AVC à retrouver une mobilité des bras.
2. Sparx
Pour lutter contre la dépression, en incarnant un personnage qui détruit les pensées négatives à 'laide de boules de feu.
3. X-TORP
Pour lutter contre Alzheimer en stimulant motricité, motivation et capacités cognitives.
4. Toap Run
Un jeu de plateforme contre Parkinson.
Si les USA travaillent sur l'intégration du jeu vidéo dans la médecine, c'est aussi le cas en France, ou ces jeux sont en cours d'expérimentation dans plusieurs hôpitaux. Il n'est cependant pas encore envisagé de les prescrire sur ordonnance à des patients.
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