« Je pars en week-end avec une amie, tu es sûr que tu vas t’en sortir ? »
7 préjugés sexistes que les papas ne supportent plus d’entendre
Vous savez ce qui serait bien ? Vivre dans un monde où les hommes ne sont pas mis sur un piédestal lorsqu'ils "aident" à prendre soin de leurs enfants. Oui oui, un monde où il est normal pour un papa d'emmener son fils ou sa fille à l'école sans que soudainement, votre entourage vous applaudisse pour cet exploit.
Voici quelques préjugés qui finalement sont plutôt dégradants pour les papas :
1. Il ne sait pas s'occuper de ses enfants
Source photo : aufeminin.com
Notre société cherche encore son chemin dans l'égalité des sexes. Elle se bat toujours pour l'égalité des droits dans le monde du travail, parce que, allez comprendre pourquoi, certaines femmes choisissent d'avoir une carrière en dehors des bébés, des enfants et de la maison.
Femmes ! Vous vous offensez lorsque l'on ose A PEINE vous dire "Tu es cadre... ah oui quand même !" alors s'il vous plaît, faites un effort et évitez les "Félicitation chéri, tu sais enfin faire un biberon".
2. Il ne sait pas faire la cuisine
Le cliché parfait du couple : le père rentre à la maison, dépose son manteau et sa sacoche en cuir et va embrasser son fils. La femme, quant à elle, l'attend dans la cuisine.
Si jamais on ose dire "Ce n'est pas encore prêt", c'est la Troisième guerre mondiale à la maison. Alors s'il vous plaît mesdames, évitez également les réflexions du style : "Mon mari vient de faire la cuisine, il va neiger ce soir !".
3. Il n'a choisi pas d'être parent
Source dessin : 1jour1actu.com
"Un enfant, ça ne se fait pas tout seul". Ca au moins, on est bien d'accord là-dessus, dans tous les sens du terme. On peut admettre être de temps en temps fainéants (quoi que, nous avons une certainement une excuse génétique), mais nous avons choisi d'être parent tout autant que vous ! Autrement, nous ne serions pas là.
4. Il ne tombe pas enceinte (ok, ce n'est pas tellement un préjugé)
Source gif : giphy.com
C'est simple, les femmes endurent plus que nous. C'est un fait. La preuve, elles tombent enceintes, pas nous.
Est-ce de notre faute ? Non, pas tellement. Alors arrêtez de nous critiquer là-dessus. On fait ce qu'on peut pour être le mari aimant ( à vos pieds au moindre désir de fraise, chocolat, ou autre gourmandise qu'habituellement vous détestez), alors s'il vous plaît le "De toute façon, tu ne peux pas comprendre ce que j'endure...", ça va 5 minutes.
Et la pharmacie de garde à minuit parce que madame a besoin de son onguent miraculeux pour les pieds (oui, apparemment ça soulage les douleurs de contraction), on ne la comprend pas, peut-être ?
5. Il ne sait pas faire le ménage
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Le temps du célibat est fini. Nous aussi, on sait tenir une maison. Certes, peut-être pas aussi bien que vous, mais, on fait du mieux qu'on peut pour ne pas laisser les bouteilles de bière dans le salon (en plus de ne pas les boire devant les enfants).
Alors, plus de "Oh mon dieu, mais c'est propre ici!".
Après tout, qui se lève à 2h du matin pour nettoyer le petit Lucas qui vient de vomir dans son lit parce qu'il a la gastro et que, bien sûr, il a le réflexe d'appeler "papa" au lieu de "maman" dans ces moments-là ?
6. Il ne sait pas survivre seul ou avec les enfants
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Selon la femme, nous ne savions pas vivre, ni survivre avant de la rencontrer. Sachez que nous avions une vie avant. Oui oui, c'est exact, nous avons survécu suffisamment longtemps pour vous rencontrer.
"Je pars en week-end avec une amie, tu es sûr que tu vas t'en sortir?" On sait gérer nos propres enfants tout de même ! Et nous avec...
7. Lors d'un divorce, ça l'arrange bien de ne pas avoir le gosse
Ce n'est pas parce que 8 enfants sur 10 sont confiés à la mère que nous sommes tous d'accord avec ça. Parce que voir son enfant un week-end sur deux et se contenter des appels téléphoniques, ça nous fait plaisir, peut-être ?
Il est vrai que, traditionnellement, l'homme était le soutien de la famille. Mais les choses ont bien évoluées. Nous ne sommes plus simplement une "aide" ou une "troisième paire de manches" parentale : nous sommes des "papas". Nous n'avons pas les mêmes rôles que les baby-sitters, alors s'il vous plaît, ne nous mettez plus dans le même sac.
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Bonus vidéo : Une fillette de 9 ans raconte ses problèmes à son papa... sa réaction est parfaite !