Explorez les mystères du passé grâce à ces manuscrits anciens !
Top 5 des anciens manuscrits énigmatiques
Les manuscrits anciens, rédigés dans des langues oubliées depuis longtemps, sont comme des portes qui s'ouvrent sur un passé lointain, offrant des perspectives fascinantes. Bien que certains soient si obscurs qu'ils défient toute compréhension, d'autres révèlent suffisamment pour attiser encore davantage notre curiosité. Voici cinq exemples de manuscrits énigmatiques qui ont survécu jusqu'à aujourd'hui.
1. Le Codex Grolier
Le Codex Grolier est un manuscrit vieux de 800 ans ayant appartenu aux Mayas de la péninsule du Yucatan précolombien. Des pilleurs l'ont découvert dans une grotte au Mexique dans les années 1960, aux côtés d'un masque de mosaïque Maya et d'autres trésors.
En 1966, le collectionneur mexicain Josué Sáenz l'a acquis et l'a exposé au Club Grolier en 1971 avant de le donner au gouvernement mexicain. Bien que ses moyens de découverte et d'acquisition soient plutôt douteux, le manuscrit a été authentifié par le professeur Michael Coe de l'Université Yale et d'autres chercheurs de l'Université Brown à travers une série de tests divers.
2. L'Évangile de Judas
En 1970, des chrétiens gnostiques ont dévoilé l'Évangile de Judas, un document copte découvert près de Beni Mazar, en Égypte. Ce texte affirme que Judas n'était pas le traître de Jésus, mais plutôt son apôtre le plus fidèle, chargé de le livrer aux autorités pour accomplir la volonté de Dieu. Certains spécialistes suggèrent cependant que Judas était associé à un démon particulier appelé le Treizième, ce qui impliquerait que la mort de Jésus n'a pas été un sacrifice divin, mais plutôt un acte visant à satisfaire les démons eux-mêmes, comme l'affirme l'historienne April D. DeComick.
3. Le Liber Linteus
En 1848, un fonctionnaire croate a acquis un sarcophage contenant une momie féminine lors de son voyage en Égypte. Après son retour, le sarcophage est exposé dans sa maison, avant d'être donné au Musée archéologique de Zagreb. Ce n'est que des décennies plus tard, lors de la visite de l'égyptologue allemand Heinrich Brugsch, que l'on découvre que le texte écrit sur les bandages de la momie n'était pas de l'hiéroglyphe égyptien. Il s'agissait en effet d'une langue étrusque utilisée par les précurseurs des Romains en Italie. En 1891, on confirma que le texte était en fait le Liber Linteus, un calendrier religieux étrusque.
4. Les archives nationales de Sibiu
En 1961, un professeur de l'Université de Bucarest découvre un manuscrit antérieur à 1570 dans les archives de Sibiu. Le document de 450 pages couvrait différents sujets d'artillerie et de balistique du XVIe siècle. La troisième partie du manuscrit présentait une description détaillée d'une fusée multistade moderne nommée « javeline volante ». C'est Conrad Haas, un ancien maître d'arsenal de l'armée impériale autrichienne qui a rédigé le manuscrit.
5. Les manuscrits de la mer Morte
Découverts entre 1946 et 1956 dans onze grottes du désert de Judée oriental, les manuscrits de la mer Morte comprennent près de 981 textes et rouleaux différents. Le Rouleau de cuivre, découvert en 1952, est le seul fait de cuivre. Bien que rédigé en hébreu, ce texte utilise un dialecte différent et a pour objet une « carte au trésor ». Cette carte fournit des instructions précises pour localiser diverses richesses cachées. Cependant, malgré de nombreuses tentatives, ces trésors demeurent introuvables à ce jour, et l'auteur du texte reste inconnu.
Numéro 5 : Le Codex Grolier
Le Codex Grolier est un manuscrit vieux de 800 ans ayant appartenu aux Mayas de la péninsule du Yucatan précolombien. Des pilleurs l’ont découvert dans une grotte au Mexique dans les années 1960, aux côtés d’un masque de mosaïque Maya et d’autres trésors. En 1966, le collectionneur mexicain Josué Sáenz l’a acquis et l’a exposé au Club Grolier en 1971 avant de le donner au gouvernement mexicain. Bien que ses moyens de découverte et d’acquisition soient plutôt douteux, le manuscrit a été authentifié par le professeur Michael Coe de l’Université Yale et d’autres chercheurs de l’Université Brown à travers une série de tests divers.
Numéro 4 : L'Évangile de Judas
En 1970, des chrétiens gnostiques ont dévoilé l’Évangile de Judas, un document copte découvert près de Beni Mazar, en Égypte. Ce texte affirme que Judas n’était pas le traître de Jésus, mais plutôt son apôtre le plus fidèle, chargé de le livrer aux autorités pour accomplir la volonté de Dieu. Certains spécialistes suggèrent cependant que Judas était associé à un démon particulier appelé le Treizième, ce qui impliquerait que la mort de Jésus n’a pas été un sacrifice divin, mais plutôt un acte visant à satisfaire les démons eux-mêmes, comme l’affirme l’historienne April D. DeComick.
Numéro 3 : Le Liber Linteus
En 1848, un fonctionnaire croate a acquis un sarcophage contenant une momie féminine lors de son voyage en Égypte. Après son retour, le sarcophage est exposé dans sa maison, avant d’être donné au Musée archéologique de Zagreb. Ce n’est que des décennies plus tard, lors de la visite de l’égyptologue allemand Heinrich Brugsch, que l’on découvre que le texte écrit sur les bandages de la momie n’était pas de l’hiéroglyphe égyptien. Il s’agissait en effet d’une langue étrusque utilisée par les précurseurs des Romains en Italie. En 1891, on confirma que le texte était en fait le Liber Linteus, un calendrier religieux étrusque.
Numéro 2 : Les archives nationales de Sibiu
En 1961, un professeur de l’Université de Bucarest découvre un manuscrit antérieur à 1570 dans les archives de Sibiu. Le document de 450 pages couvrait différents sujets d’artillerie et de balistique du XVIe siècle. La troisième partie du manuscrit présentait une description détaillée d’une fusée multistade moderne nommée « javeline volante ». C’est Conrad Haas, un ancien maître d’arsenal de l’armée impériale autrichienne qui a rédigé le manuscrit.
Numéro 1 : Les manuscrits de la mer Morte
Découverts entre 1946 et 1956 dans onze grottes du désert de Judée oriental, les manuscrits de la mer Morte comprennent près de 981 textes et rouleaux différents. Le Rouleau de cuivre, découvert en 1952, est le seul fait de cuivre. Bien que rédigé en hébreu, ce texte utilise un dialecte différent et a pour objet une « carte au trésor ». Cette carte fournit des instructions précises pour localiser diverses richesses cachées. Cependant, malgré de nombreuses tentatives, ces trésors demeurent introuvables à ce jour, et l’auteur du texte reste inconnu.