Top 5 des bourreaux les plus impitoyables

Dans cet article, nous vous présentons les bourreaux les plus notoires de l’histoire.

Par Aylan-afir Publié le 25/12/2022 à 19:26
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Il est évident que les bourreaux sont, par définition, sans pitié. Néanmoins, ces hommes étaient des professionnels compétents lorsqu'il s'agissait d'infliger la mort de manière froide. La liste suivante rassemble le Top 5 des bourreaux les plus impitoyables que l'Histoire a connus.

1. Anatole Deibler

Anatole Deibler était l'un des bourreaux les plus célèbres de France. Il aurait décapité plus de 395 criminels et se vantait de pouvoir guillotiner une personne plus vite que le mot "guillotine". Anatole est sinistrement connu pour avoir été nommé bourreau en chef en 1899. Il était constamment harcelé pour des interviews. Il était aussi suivi par des foules immenses à son arrivée dans les villes pour procéder aux exécutions.

2. Albert Pierrepoint

Pierrepoint était membre de l'une des familles de bourreaux les plus réputées de Grande-Bretagne. Il a été le dernier bourreau officiel du pays. Il s'est fait connaître lors du procès de Nuremberg. Il a aussi été affecté en Allemagne pour exécuter plus de 200 fonctionnaires reconnus coupables de crimes de guerre.

Pierrepoint était respecté par le gouvernement pour avoir respecté les normes de conduite les plus élevées lors de ses exécutions. De 1932 à 1956, il a été crédité de la mort de plus de 400 hommes et 17 femmes.

3. Giovanni Battista Bugatti

Connu sous le nom de Maître de justice, Buggatti a été salué comme un "héros" italien pour avoir procédé à plus de 500 exécutions papales. Il était également célèbre pour avoir occupé le poste de bourreau pontifical le plus longtemps. Son travail est une véritable illustration du pouvoir que possédait autrefois l'Église catholique.

À son époque, Bugatti était une véritable célébrité dans les États pontificaux. Même le célèbre écrivain Lord Byron a écrit sur Buggati après avoir assisté à l'une de ses exécutions. L'héritage de Buggati reste fort jusqu'à aujourd'hui. Il figure même dans une comptine macabre que les mères romaines chantent à leurs enfants.

4. Robert G. Elliott

Surnommé "l'agent de la mort", Robert G. Elliot était le bourreau en chef de l'État de New York. C'était une figure extrêmement importante du système de justice pénale américain. De 1890 à aujourd'hui, il a été le bourreau d'environ 10 % des détenus américains.

Elliot était est l'un des rares bourreaux célèbres de l'histoire moderne à avoir procédé aux exécutions sur la chaise électrique. Il est responsable de certains des détenus les plus notoires de l'histoire des États-Unis, notamment Julius et Ethel Rosenberg. Il s'est ensuite fait connaître comme un écrivain prolifique et, ironiquement, comme un fervent opposant à la peine de mort.

5. Richard Brandon

Les pratiques de Richard Brandon sont devenues l'étalon avec lequel tous les autres bourreaux sont jugés. Sa technique consistait à trancher la tête du prisonnier d'un seul coup.

Il aurait affiné cette technique en s'exerçant sur animaux durant des années. La personne la plus célèbre que Brandon ait exécutée est le roi Charles Ier en 1649. Brandon et son assistant portaient des masques et de fausses barbes par crainte de représailles politiques.

Numéro 5 : Anatole Deibler

Anatole Deibler était l’un des bourreaux les plus célèbres de France. Il aurait décapité plus de 395 criminels et se vantait de pouvoir guillotiner une personne plus vite que le mot “guillotine”. Anatole est sinistrement connu pour avoir été nommé bourreau en chef en 1899. Il était constamment harcelé pour des interviews. Il était aussi suivi par des foules immenses à son arrivée dans les villes pour procéder aux exécutions.

Anatole Deibler

Numéro 4 : Albert Pierrepoint

Pierrepoint était membre de l’une des familles de bourreaux les plus réputées de Grande-Bretagne. Il a été le dernier bourreau officiel du pays. Il s’est fait connaître lors du procès de Nuremberg. Il a aussi été affecté en Allemagne pour exécuter plus de 200 fonctionnaires reconnus coupables de crimes de guerre. Pierrepoint était respecté par le gouvernement pour avoir respecté les normes de conduite les plus élevées lors de ses exécutions. De 1932 à 1956, il a été crédité de la mort de plus de 400 hommes et 17 femmes.

Albert Pierrepoint

Numéro 3 : Giovanni Battista Bugatti

Connu sous le nom de Maître de justice, Buggatti a été salué comme un “héros” italien pour avoir procédé à plus de 500 exécutions papales. Il était également célèbre pour avoir occupé le poste de bourreau pontifical le plus longtemps. Son travail est une véritable illustration du pouvoir que possédait autrefois l’Église catholique. À son époque, Bugatti était une véritable célébrité dans les États pontificaux. Même le célèbre écrivain Lord Byron a écrit sur Buggati après avoir assisté à l’une de ses exécutions. L’héritage de Buggati reste fort jusqu’à aujourd’hui. Il figure même dans une comptine macabre que les mères romaines chantent à leurs enfants.

Giovanni Battista Bugatti

Numéro 2 : Robert G. Elliot

Surnommé “l’agent de la mort”, Robert G. Elliot était le bourreau en chef de l’État de New York. C’était une figure extrêmement importante du système de justice pénale américain. De 1890 à aujourd’hui, il a été le bourreau d’environ 10 % des détenus américains. Elliot était est l’un des rares bourreaux célèbres de l’histoire moderne à avoir procédé aux exécutions sur la chaise électrique. Il est responsable de certains des détenus les plus notoires de l’histoire des États-Unis, notamment Julius et Ethel Rosenberg. Il s’est ensuite fait connaître comme un écrivain prolifique et, ironiquement, comme un fervent opposant à la peine de mort

Robert G. Elliot

Numéro 1 : Richard Brandon

Les pratiques de Richard Brandon sont devenues l’étalon avec lequel tous les autres bourreaux sont jugés. Sa technique consistait à trancher la tête du prisonnier d’un seul coup. Il aurait affiné cette technique en s’exerçant sur animaux durant des années. La personne la plus célèbre que Brandon ait exécutée est le roi Charles Ier en 1649. Brandon et son assistant portaient des masques et de fausses barbes par crainte de représailles politiques.

Richard Brandon

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