La dépression post-partum est souvent prise à la légère. Pourtant, énormément de femmes en souffrent !
Top 5 des choses à savoir sur la dépression post-partum
Être mère n’est pas la plupart du temps une source de bonheur pour certaines femmes. En effet, la dépression post-partum peut s'imposer dans la vie d'une femme. Voici le Top 5 des choses à savoir sur la dépression post-partum.
1. C’est différent du baby-blues
Il est normal que les femmes ressentent le baby-blues, une légère dépression durant la première semaine de l’accouchement. 80 % des femmes subissent cette phase. En effet, elles sont prises d’une forte émotion qui se traduit par une crise de larmes, l’irritabilité et l'anxiété. Le baby-blues est la conséquence du bouleversement qu’inflige le nouveau rythme de vie dont le manque du sommeil.
Quant à la dépression post-partum (DPP), elle dure plus longtemps. Selon le collège national des gynécologues et des obstétriciens français (CNGOF), elle se manifeste durant deux à six semaines. Les symptômes de la dépression post-partum sont notamment l’isolement, broyer du noir et avoir des idées suicidaires, ainsi que le sentiment d’être une mauvaise mère.
2. Il y a des facteurs de risque
Le risque de développer la dépression post-partum touche généralement les femmes ayant des intercédant ou des problèmes psychologiques. Si la femme stress durant la grossesse, une surveillance constante est dès lors nécessaire. Par ailleurs, les femmes qui ont vécu un accouchement difficile ou prématuré, ainsi que le deuil périnatal, cela accentuent le risque qu'elles soient touchées par cette dépression. De même, les problèmes conjugaux que vit la femme, particulièrement l’absence de son conjoint.
De plus, la cause du DPP, aussi à ne pas négliger, est le comportement du nourrisson, entre autres le problème de sommeil et les pleurs.
3. Il peut y avoir des conséquences pour l’enfant
Une mère atteinte de dépression post-partum répand présente physiquement, mais moralement, elle est absente, ce qui engendre un impact sur son bébé. Car, elle a avec son bébé des comportements intrusifs tels que des chatouilles frénétiques ou des secousses brutales. Des gestes perturbants pour l'enfant qui peuvent engendrer des retards du développement cognitif et des troubles de communication.
D’après une étude britannique sur 100 % des adolescents âgés de 16 ans souffrant de dépression, leurs mères ont été atteintes par cette maladie lors de la grossesse. D’ailleurs, le CNGOF a noté : « Pour la santé des femmes et de leurs enfants, c’est bel et bien une question de santé publique ».
4. Le nombre de suicides est élevé chez les jeunes mamans
Un an après l’accouchement, 56 % des jeunes mamans se donnent la mort, selon l’enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles 2013-2015 établie par l’Inserm et santé publique France. De plus, l'enquête révèle que les idées suicidaires tourmentent 5 % et 1 4 % des femmes lors de la grossesse et après l'accouchement.
De même, en 2022, le suicide reste l’une des premières causes de mortalité pour la jeune mère victime de cette dépression. Un constat glacial ! Après les mouvements féministes de 2017, la femme est devenue un sujet d’étude.
5. Le taux de guérison est important
Il y a de l’espoir tout de même ! Selon le CNGOF, la dépression post-partum guérit d’une manière naturelle dans la première année de l’enfant. Cela n’empêche en rien de prendre en charge ce genre de dépression. Il se révèle nécessaire de suivre un traitement adapté. D’ailleurs, il y a le traitement relationnel comme la psychothérapie brève ou l’hospitalisation. Au cas où la femme ne pourrait pas se déplacer, une consultation à domicile s'effectue notamment de la part de l’hôpital Sainte-Marguerite, à Marseille ou à Montreuil.
Numéro 5 : C’est différent du baby-blues
Il est normal que les femmes ressentent le baby-blues, une légère dépression durant la première semaine de l’accouchement. 80 % des femmes subissent cette phase. En effet, elles sont prises d’une forte émotion qui se traduit par une crise de larmes, l’irritabilité et l’anxiété. Le baby-blues est la conséquence du bouleversement qu’inflige le nouveau rythme de vie dont le manque du sommeil.
Quant à la dépression post-partum (DPP), elle dure plus longtemps. Selon le collège national des gynécologues et des obstétriciens français (CNGOF), elle se manifeste durant deux à six semaines. Les symptômes de la dépression post-partum sont notamment l’isolement, broyer du noir et avoir des idées suicidaires, ainsi que le sentiment d’être une mauvaise mère.
Numéro 4 : Il y a des facteurs de risque
Le risque de développer la dépression post-partum touche généralement les femmes ayant des intercédant ou des problèmes psychologiques. Si la femme stress durant la grossesse, une surveillance constante est dès lors nécessaire. Par ailleurs, les femmes qui ont vécu un accouchement difficile ou prématuré, ainsi que le deuil périnatal, cela accentuent le risque qu’elles soient touchées par cette dépression. De même, les problèmes conjugaux que vit la femme, particulièrement l’absence de son conjoint. De plus, la cause du DPP, aussi à ne pas négliger, est le comportement du nourrisson, entre autres le problème de sommeil et les pleurs.
Numéro 3 : Il peut y avoir des conséquences pour l’enfant
Une mère atteinte de dépression post-partum répand présente physiquement, mais moralement, elle est absente, ce qui engendre un impact sur son bébé. Car, elle a avec son bébé des comportements intrusifs tels que des chatouilles frénétiques ou des secousses brutales. Des gestes perturbants pour l’enfant qui peuvent engendrer des retards du développement cognitif et des troubles de communication. D’après une étude britannique sur 100 % des adolescents âgés de 16 ans souffrant de dépression, leurs mères ont été atteintes par cette maladie lors de la grossesse. D’ailleurs, le CNGOF a noté : « Pour la santé des femmes et de leurs enfants, c’est bel et bien une question de santé publique ».
Numéro 2 : Le nombre de suicides est élevé chez les jeunes mamans
Un an après l’accouchement, 56 % des jeunes mamans se donnent la mort, selon l’enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles 2013-2015 établie par l’Inserm et santé publique France. De plus, l’enquête révèle que les idées suicidaires tourmentent 5 % et 1 4 % des femmes lors de la grossesse et après l’accouchement. De même, en 2022, le suicide reste l’une des premières causes de mortalité pour la jeune mère victime de cette dépression. Un constat glacial ! Après les mouvements féministes de 2017, la femme est devenue un sujet d’étude.
Numéro 1 : Le taux de guérison est important
Il y a de l’espoir tout de même ! Selon le CNGOF, la dépression post-partum guérit d’une manière naturelle dans la première année de l’enfant. Cela n’empêche en rien de prendre en charge ce genre de dépression. Il se révèle nécessaire de suivre un traitement adapté. D’ailleurs, il y a le traitement relationnel comme la psychothérapie brève ou l’hospitalisation. Au cas où la femme ne pourrait pas se déplacer, une consultation à domicile s’effectue notamment de la part de l’hôpital Sainte-Marguerite, à Marseille ou à Montreuil.