Hier, la Première ministre britannique Liz Truss a démissionné après 44 jours à Downing Street
Top 5 des démissions politiques françaises les plus folles !
C'est une nouvelle qui secoue une nouvelle fois le royaume. Après la démission de Boris Johnson le 7 juillet dernier, c'est au tour de Liz Truss d'annoncer la sienne. Elle devient ainsi la Première ministre la plus éphémère de l'histoire, avec 44 jours au pouvoir. Un malheureux record qui souligne l'instabilité nationale en ces temps de crise. "Vu la situation, je ne peux pas remplir le mandat sur lequel j'ai été élue par le Parti conservateur" a-t-elle affirmé. Parmi les favoris pour la remplacer, on peut notamment retrouver l'ancien pensionnaire du poste : Boris Johnson. Si Liz Truss a battu tous les records en terme de démissions en Angleterre, certains ont réussi à faire des sorties encore plus folles. Voici les cinq démissions les plus folles de la politique française.
Nicolas Hulot, le panache à la française
Alors qu'il est invité au 7/9 de France Inter le 28 août 2018 pour s'exprimer sur les avancées de ses projets en tant que ministre de l'écologie, rien ne semble indiquer que Nicolas Hulot va quitter son poste. Alors qu'il n'avait averti ni le président, ni le premier ministre, ni personne finalement, il présente sa démission en direct. Le tout devant une Léa Salamé complètement médusée. Pourquoi un tel acte ? Tout simplement parce que ses supérieurs auraient encore "réussi à le dissuader". Déçu de l'investissement du gouvernement et des moyens mis en place pour le développement durable, il part en trombe. Une démission qui a marqué les esprits.
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Charles de Gaulle, une promesse pour l'éternité
En 1969, après 10 ans en tant que président de la République, Charles de Gaulle organise un référendum. Celui-ci porte sur la réforme du Sénat et une loi sur la régionalisation. Toutefois, le réel enjeu de ce vote est autre part : le président le dit, si le résultat est "non", il démissionnera. Le 28 avril 1969, les scrutins dévoilent leur vérité, fatale à Charles de Gaulle. Celui-ci démissionnera dans la foulée. Chose promise, chose due.
Jean-Pierre suit son idole
En 2005, c'est au tour de Jean-Pierre Raffarin de suivre les pas de son aîné. Après la victoire du "non" au référendum sur le projet de constitution européenne, il décide de faire ses bagages et de quitter son poste de Premier ministre.
Lionel Jospin, le seum à la française
C'est probablement le rage-quit la plus monumentale de l'histoire de la politique française. Pas que son importance soit fondamentale, non, mais parce qu'elle représente tout l'échec d'un homme : Lionel Jospin. Faisant figure de favoris aux élections présidentielles de 2002, il répète sa confiance en lui-même pendant toute sa compagne. Problème, il se fait griller son second tour par Jean-Marie Le Pen. Et ça, ça fait mal. Il annonce dans la foulée son retrait de la vie politique et démissionne le 6 mai. Douloureux.
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Jérôme Cahuzac, le parfait ministre de l'économie
Alors celui-là, c'est le pompon sur la Garonne. Ministre du budget dans le gouvernement de François Hollande, ce cher Jérôme Cahuzac a été assez cachottier. Et oui, sans le dire à personne, il a assuré sa retraite avec des jolis comptes en Suisse. Une enquête préliminaire pour blanchiment de fraude fiscale plus tard, on dit au revoir Jérôme.
Numéro 5 : Nicolas Hulot, le panache à la française
Alors qu’il est invité au 7/9 de France Inter le 28 août 2018 pour s’exprimer sur les avancées de ses projets en tant que ministre de l’écologie, rien ne semble indiquer que Nicolas Hulot va quitter son poste. Alors qu’il n’avait averti ni le président, ni le premier ministre, ni personne finalement, il présente sa démission en direct. Le tout devant une Léa Salamé complètement médusée. Pourquoi un tel acte ? Tout simplement parce que ses supérieurs auraient encore “réussi à le dissuader”. Déçu de l’investissement du gouvernement et des moyens mis en place pour le développement durable, il part en trombe. Une démission qui a marqué les esprits.
Numéro 4 : Charles de Gaulle, une promesse pour l'éternité
En 1969, après 10 ans en tant que président de la République, Charles de Gaulle organise un référendum. Celui-ci porte sur la réforme du Sénat et une loi sur la régionalisation. Toutefois, le réel enjeu de ce vote est autre part : le président le dit, si le résultat est “non”, il démissionnera. Le 28 avril 1969, les scrutins dévoilent leur vérité, fatale à Charles de Gaulle. Celui-ci démissionnera dans la foulée. Chose promise, chose due.
Numéro 3 : Jean-Pierre suit son idole
En 2005, c’est au tour de Jean-Pierre Raffarin de suivre les pas de son aîné. Après la victoire du “non” au référendum sur le projet de constitution européenne, il décide de faire ses bagages et de quitter son poste de Premier ministre.
Numéro 2 : Lionel Jospin, le seum à la française
C’est probablement le rage-quit la plus monumentale de l’histoire de la politique française. Pas que son importance soit fondamentale, non, mais parce qu’elle représente tout l’échec d’un homme : Lionel Jospin. Faisant figure de favoris aux élections présidentielles de 2002, il répète sa confiance en lui-même pendant toute sa compagne. Problème, il se fait griller son second tour par Jean-Marie Le Pen. Et ça, ça fait mal. Il annonce dans la foulée son retrait de la vie politique et démissionne le 6 mai. Douloureux.
Numéro 1 : Jérôme Cahuzac, le parfait ministre de l'économie
Alors celui-là, c’est le pompon sur la Garonne. Ministre du budget dans le gouvernement de François Hollande, ce cher Jérôme Cahuzac a été assez cachottier. Et oui, sans le dire à personne, il a assuré sa retraite avec des jolis comptes en Suisse. Une enquête préliminaire pour blanchiment de fraude fiscale plus tard, on dit au revoir Jérôme.