“On y va, mais… on s’fait un petit joint, avant ?”
Top 5 des effets indésirables du cannabis
Cette phrase qui peut esembler parfois anodine est souvent révélatrice d’une addiction. L’Homme cultive le cannabis depuis des millénaires en raison de ses multiples vertus. En France, ce sont 47 % des adultes qui affirment avoir déjà consommé du cannabis, mais en connaissons-nous tous les effets ? Nous vous proposons de découvrir le top 5 des effets les plus indésirables du cannabis.
1. Des troubles de la concentration
Fumer du cannabis, c’est avant tout rechercher ses effets euphorisants. La sensation de planer accompagne un sentiment de bien-être physique. Cet état de détente généralisé s’accompagne d’un ralentissement de l’activité du cerveau. Celui-ci devient beaucoup moins "efficace" après avoir consommé du cannabis. On a plus de mal à se concentrer et on perd rapidement le fil de ses idées. La consommation de cannabis affecte ainsi la mémoire à court-terme.
2. Des difficultés d’apprentissage
De nos jours, la plupart des adolescents ont déjà fumé un joint avant 16 ans, ou envisagent de le faire. Les consommateurs de cannabis sont souvent de jeunes ados qui veulent juste à rigoler entre copains. Or, il se trouve qu’à cet âge, le cerveau est encore en plein développement. L’exposer aux effets du cannabis peut avoir des effets néfastes et perturber le processus d'apprentissage. Les difficultés d’apprentissage à l’adolescence ont des conséquences tragiques puisqu’elles impactent la personne tout au long de sa vie.
3. Des envies de procrastination
En raison de ses effets relaxants, le cannabis a tendance à diminuer la motivation de ceux qui en consomment régulièrement. Ils ont donc la flemme de faire à peu près quoi que ce soit. Ils ont aussi tendance à laisser couler en espérant que les choses se fassent d’elles-mêmes. C’est ainsi qu’ils prennent la mauvaise habitude de tout remettre à plus tard, au lendemain, ou à la semaine suivante. Cet effet indésirable du cannabis peut avoir des conséquences négatives sur la vie privée et la vie professionnelle.
4. Le repli sur soi
Les consommateurs de cannabis réguliers et à long terme ont tendance à fumer seuls, généralement chez eux. Bien loin de l’aspect festif qui accompagnait les premiers joints, au fil du temps, fumer du cannabis devient une sorte de rituel. Le fumeur est content de pouvoir rentrer chez lui après le travail car il va enfin pouvoir fumer un joint. Cette activité à faire en solitaire ne favorise généralement pas la socialisation et entraîne un repli sur soi. Avec le temps, on a de moins en moins envie de sortir de chez soi et de rencontrer du monde, ce qui peut avoir des effets psychologiques désastreux.
5. La perte de la mémoire à long terme
La plupart des gens ayant consommé du cannabis dans leur jeunesse finissent par arrêter après leurs études. Cela peut se faire par manque de temps, ou tout simplement parce que l’on n’en a plus envie. D’autres personnes, en revanche, fument du cannabis depuis toujours et n’ont pas l’intention d’arrêter. Au-delà des risques cardiovasculaires et la provocation de cancers, ils s’exposent à une possibilité d’affecter leur mémoire à long-terme. Ils ont de plus en plus de mal à se souvenir des événements anciens, et certaines expériences passées peuvent leur échapper.
Numéro 5 : Des troubles de la concentration
Fumer du cannabis, c’est avant tout rechercher ses effets euphorisants. La sensation de planer accompagne un sentiment de bien-être physique. Cet état de détente généralisé s’accompagne d’un ralentissement de l’activité du cerveau. Celui-ci devient beaucoup moins “efficace” après avoir consommé du cannabis. On a plus de mal à se concentrer et on perd rapidement le fil de ses idées. La consommation de cannabis affecte ainsi la mémoire à court-terme.
Numéro 4 : Des difficultés d’apprentissage
De nos jours, la plupart des adolescents ont déjà fumé un joint avant 16 ans, ou envisagent de le faire. Les consommateurs de cannabis sont souvent de jeunes ados qui veulent juste à rigoler entre copains. Or, il se trouve qu’à cet âge, le cerveau est encore en plein développement. L’exposer aux effets du cannabis peut avoir des effets néfastes et perturber le processus d’apprentissage. Les difficultés d’apprentissage à l’adolescence ont des conséquences tragiques puisqu’elles impactent la personne tout au long de sa vie.
Numéro 3 : Des envies de procrastination
En raison de ses effets relaxants, le cannabis a tendance à diminuer la motivation de ceux qui en consomment régulièrement. Ils ont donc la flemme de faire à peu près quoi que ce soit. Ils ont aussi tendance à laisser couler en espérant que les choses se fassent d’elles-mêmes. C’est ainsi qu’ils prennent la mauvaise habitude de tout remettre à plus tard, au lendemain, ou à la semaine suivante. Cet effet indésirable du cannabis peut avoir des conséquences négatives sur la vie privée et la vie professionnelle.
Numéro 2 : Le repli sur soi
Les consommateurs de cannabis réguliers et à long terme ont tendance à fumer seuls, généralement chez eux. Bien loin de l’aspect festif qui accompagnait les premiers joints, au fil du temps, fumer du cannabis devient une sorte de rituel. Le fumeur est content de pouvoir rentrer chez lui après le travail, car il va enfin pouvoir fumer un joint. Cette activité à faire en solitaire ne favorise généralement pas la socialisation et entraîne un repli sur soi. Avec le temps, on a de moins en moins envie de sortir de chez soi et de rencontrer du monde, ce qui peut avoir des effets psychologiques désastreux.
Numéro 1 : La perte de la mémoire à long terme
La plupart des gens ayant consommé du cannabis dans leur jeunesse finissent par arrêter après leurs études. Cela peut se faire par manque de temps, ou tout simplement parce que l’on n’en a plus envie. D’autres personnes, en revanche, fument du cannabis depuis toujours et n’ont pas l’intention d’arrêter. Au-delà des risques cardiovasculaires et la provocation de cancers, ils s’exposent à une possibilité d’affecter leur mémoire à long terme. Ils ont de plus en plus de mal à se souvenir des événements anciens, et certaines expériences passées peuvent leur échapper.