Une petite plongée dans le monde des esprits, de l’épouvante et du fantastique asiatique !
Top 5 des histoires de fantômes asiatiques les plus insolites
En Asie, plusieurs pays, notamment la Chine, le Japon et la Thaïlande, sont le berceau de nombreux mythes et superstitions folkloriques. Aussi horrifiques et surprenants soient-ils, ces derniers ont inspiré la littérature ainsi que le cinéma.
Y croyant dur comme fer, les asiatiques se livrent à bien des rituels et des célébrations ancrées dans leur culture. En effet, l'ère antique tout comme l'ère moderne sont à l'issue de l'héritage d'un patrimoine très riche que nous allons découvrir.
1. Un fantôme fou d'amour
La Thaïlande, un pays qui aime à se faire peur où ses croyances demeurent enracinées. Une histoire célèbre classée au patrimoine immatériel, relatant la tragédie de Mae qui part en guerre. À son retour, ce dernier se rend compte qu'il vit avec le fantôme de sa femme morte pendant son absence, il ira donc se cacher dans un temple où elle ne pourra plus le suivre, soucieuse d'être avec lui. C'est là qu'elle fut capturée dans une jarre par un exorciste.
2. La fête chinoise des fantômes
Ce culte consiste à ériger une cérémonie en hommage aux esprits errants qui ont subi des morts brutales ou n'ayant pas reçu assez de cultes de leurs familles dans le but de les aider à trouver la paix. La fête se tient au septième mois de l'année lunaire (le mois des fantômes), où l'on vient organiser un grand festin.
Pour s'assurer que l'on ne manque pas de nourriture, on fait appel à des moines bouddhistes ou taoïstes pour réciter des sutras afin de multiplier la quantité. On y installe également de longues tables où les participants viennent y déposer leurs offrandes. Tout cela, dans le but d'éviter que ces esprits ne viennent venger leurs ressentiments.
3. L'amour et les fantômes
En Chine, une tradition millénaire stipule que si l'on veut qu'un défunt trouve la paix, il doit alors se marier dans l'au-delà. Pour ce faire, de nombreuses familles chinoises dépensent de grande sommes pour trouver la dépouille idéale à leur défunt. Cette pratique est tellement populaire aux régions rurales du nord, qu'en cette période de l'année, on y démantèle de véritables trafics de dépouilles.
4. Les yurei
Selon la tradition Shinto japonaise, les yurei sont des âmes coincées entre le monde des vivants et celui des morts. Le festival de l'Obon représente une des dates les plus importantes du calendrier japonais. C'est aussi et le moment où les familles se réunissent pour honorer leurs défunts ancêtres. En effet, les proches vont accompagner les yurei durant leur traversée afin qu'ils puissent veiller sur eux depuis l'au-delà et les protéger contre tous malheurs.
5. Pocong d'Indonésie
Lorsqu'un musulman meurt, il est enveloppé dans un linceul blanc attaché par des nœuds afin d'être enterré. Dans le folklore indonésien, on croit que si les nœuds ne sont pas bien serrés, ils finissent par se relâcher. Selon eux, si cela venait à arriver, l'âme du défunt s'échapperait de son linceul et devient ainsi un Pocong. Ce dernier est un esprit errant ne parvenant pas à aller vers l'au-delà et donc vient hanter les gens dans leurs rêves.
Numéro 5 : Un fantôme fou d'amour
La Thaïlande, un pays qui aime à se faire peur où ses croyances demeurent enracinées. Une histoire célèbre classée au patrimoine immatériel, relatant la tragédie de Mae qui part en guerre. À son retour, ce dernier se rend compte qu’il vit avec le fantôme de sa femme morte pendant son absence, il ira donc se cacher dans un temple où elle ne pourra plus le suivre, soucieuse d’être avec lui. C’est là qu’elle fut capturée dans une jarre par un exorciste.
Numéro 4 : La fête chinoise des fantômes
Ce culte consiste à ériger une cérémonie en hommage aux esprits errants qui ont subi des morts brutales ou n’ayant pas reçu assez de cultes de leurs familles dans le but de les aider à trouver la paix. La fête se tient au septième mois de l’année lunaire (le mois des fantômes), où l’on vient organiser un grand festin. Pour s’assurer que l’on ne manque pas de nourriture, on fait appel à des moines bouddhistes ou taoïstes pour réciter des sutras afin de multiplier la quantité. On y installe également de longues tables où les participants viennent y déposer leurs offrandes. Tout cela, dans le but d’éviter que ces esprits ne viennent venger leurs ressentiments.
Numéro 3 : L'amour et les fantômes
En Chine, une tradition millénaire stipule que si l’on veut qu’un défunt trouve la paix, il doit alors se marier dans l’au-delà. Pour ce faire, de nombreuses familles chinoises dépensent de grande sommes pour trouver la dépouille idéale à leur défunt. Cette pratique est tellement populaire aux régions rurales du nord, qu’en cette période de l’année, on y démantèle de véritables trafics de dépouilles.
Numéro 2 : Les yurei
Selon la tradition Shinto japonaise, les yurei sont des âmes coincées entre le monde des vivants et celui des morts. Le festival de l’Obon représente une des dates les plus importantes du calendrier japonais. C’est aussi et le moment où les familles se réunissent pour honorer leurs défunts ancêtres. En effet, les proches vont accompagner les yurei durant leur traversée afin qu’ils puissent veiller sur eux depuis l’au-delà et les protéger contre tous malheurs.
Numéro 1 : Pocong d'Indonésie
Lorsqu’un musulman meurt, il est enveloppé dans un linceul blanc attaché par des nœuds afin d’être enterré. Dans le folklore indonésien, on croit que si les nœuds ne sont pas bien serrés, ils finissent par se relâcher. Selon eux, si cela venait à arriver, l’âme du défunt s’échapperait de son linceul et devient ainsi un Pocong. Ce dernier est un esprit errant ne parvenant pas à aller vers l’au-delà et donc vient hanter les gens dans leurs rêves.