Découvrez la face cachée de l'Égypte antique et démystifiez certaines légendent qui l'entourent.
Top 5 des idées fausses à savoir sur l’Égypte ancienne
Malgré notre connaissance approfondie de l'Égypte antique, il existe encore de nombreuses énigmes non résolues, telles que l'identité des bâtisseurs des pyramides, les mystères entourant le Sphinx et les circonstances exactes de la mort du roi Toutankhamon. Nous allons maintenant briser certains des mythes les plus répandus sur cette période fascinante.
1. Le nez du Sphinx
Situé à Gizeh, le Sphinx a une hauteur d’environ 20 mètres et une longueur de plus de 70 mètres. Il est taillé dans un seul bloc de calcaire et contrairement aux pyramides, ce dernier constitue une seule pièce, dotée d’une tête humaine et d’un corps de lion.
Bien que la légende raconte que Napoléon Bonaparte ait ordonné de couper le nez du Sphinx, cette histoire est fausse. En fait, le nez était déjà manquant en 1737, selon une peinture de l'explorateur danois Frédéric Louis Norden. Il est plus probable qu'un soufi musulman nommé Muhammad Sa'im al-Dahr l'ait cassé au XIVe siècle pour protester contre l'idolâtrie de l'Égypte antique.
2. La mort de Toutankhamon
Toutankhamon est devenu roi d'Égypte au 14ᵉ siècle avant J.-C., à l'âge de neuf ans. Bien qu'il ait eu des conseillers pour l'aider à gouverner, il décède à l'âge de 19 ans. Depuis la découverte de sa tombe, des enquêtes ont été menées sur sa mort, suggérant qu'il avait été assassiné. Cependant, des examens ultérieurs ont révélé qu'il était probablement décédé d'une infection résultant d'une fracture de la cuisse.
La théorie de l'assassinat est considérée comme peu probable, bien que les détails de sa mort ne soient pas établis.
3. La momification
En Égypte ancienne, la momification n'était pas réservée aux riches pharaons, mais était accessible à la plupart des gens. Bien que les techniques utilisées pour momifier les pharaons étaient plus sophistiquées et coûteuses, les roturiers pouvaient en bénéficier.
Le processus de momification complet prenait environ 70 jours. Outre cela, la momification dépendait des préférences personnelles de la personne l’effectuant. Pour établir le processus de momification, certains ajoutent du lin ou de la résine dorée.
4. Les tombes remplies de pièges
Bien que les films et les jeux vidéos aient popularisé l'image des tombes remplies de pièges, cette représentation est erronée. Les Égyptiens n'ont jamais piégé leurs tombes ; au lieu de cela, ils ont utilisé d'énormes pierres pour bloquer l'entrée. Les pierres servaient à protéger les défunts de toute perturbation. Si une tombe est volée, c'était généralement par l'un des constructeurs qui connaissait la disposition. En effet, les accidents qui se sont produits dans les tombes étaient liés au vol et non aux pièges.
5. Les hiéroglyphes
Les premiers savants grecs et romains pensaient que les hiéroglyphes étaient de nature symbolique. Les anciens Égyptiens les ont utilisés comme un moyen permettant de représenter des mots, des sons et des symboles. Les premiers chercheurs les considéraient peut-être comme étant symboliques, mais la pierre de Rosette a permis de les décoder en écriture. Il est à noter que les hiéroglyphes ne représentent pas obligatoirement une traduction image-mot.
En plus des hiéroglyphes, une forme d'écriture plus rapide, mais moins précise appelée démotique était également utilisée.
Numéro 5 : Le nez du Sphinx
Situé à Gizeh, le Sphinx a une hauteur d’environ 20 mètres et une longueur de plus de 70 mètres. Il est taillé dans un seul bloc de calcaire et contrairement aux pyramides, ce dernier constitue une seule pièce, dotée d’une tête humaine et d’un corps de lion. Bien que la légende raconte que Napoléon Bonaparte ait ordonné de couper le nez du Sphinx, cette histoire est fausse. En fait, le nez était déjà manquant en 1737, selon une peinture de l’explorateur danois Frédéric Louis Norden. Il est plus probable qu’un soufi musulman nommé Muhammad Sa’im al-Dahr l’ait cassé au XIVe siècle pour protester contre l’idolâtrie de l’Égypte antique.
Numéro 4 : La mort de Toutankhamon
Toutankhamon est devenu roi d’Égypte au 14ᵉ siècle avant J.-C., à l’âge de neuf ans. Bien qu’il ait eu des conseillers pour l’aider à gouverner, il décède à l’âge de 19 ans. Depuis la découverte de sa tombe, des enquêtes ont été menées sur sa mort, suggérant qu’il avait été assassiné. Cependant, des examens ultérieurs ont révélé qu’il était probablement décédé d’une infection résultant d’une fracture de la cuisse. La théorie de l’assassinat est considérée comme peu probable, bien que les détails de sa mort ne soient pas établis.
Numéro 3 : La momification
En Égypte ancienne, la momification n’était pas réservée aux riches pharaons, mais était accessible à la plupart des gens. Bien que les techniques utilisées pour momifier les pharaons étaient plus sophistiquées et coûteuses, les roturiers pouvaient en bénéficier. Le processus de momification complet prenait environ 70 jours. Outre cela, la momification dépendait des préférences personnelles de la personne l’effectuant. Pour établir le processus de momification, certains ajoutent du lin ou de la résine dorée.
Numéro 2 : Les tombes remplies de pièges
Bien que les films et les jeux vidéos aient popularisé l’image des tombes remplies de pièges, cette représentation est erronée. Les Égyptiens n’ont jamais piégé leurs tombes ; au lieu de cela, ils ont utilisé d’énormes pierres pour bloquer l’entrée. Les pierres servaient à protéger les défunts de toute perturbation. Si une tombe est volée, c’était généralement par l’un des constructeurs qui connaissait la disposition. En effet, les accidents qui se sont produits dans les tombes étaient liés au vol et non aux pièges.
Numéro 1 : Les hiéroglyphes
Les premiers savants grecs et romains pensaient que les hiéroglyphes étaient de nature symbolique. Les anciens Égyptiens les ont utilisés comme un moyen permettant de représenter des mots, des sons et des symboles. Les premiers chercheurs les considéraient peut-être comme étant symboliques, mais la pierre de Rosette a permis de les décoder en écriture. Il est à noter que les hiéroglyphes ne représentent pas obligatoirement une traduction image-mot. En plus des hiéroglyphes, une forme d’écriture plus rapide, mais moins précise appelée démotique était également utilisée.