Ces lois, aussi stupides qu’étranges, sont bien réelles et ont bien été appliquées dans le passé. Certaines sont même encore en vigueur.
Top 5 des lois les plus étranges en France
1. Interdiction de nommer son cochon "Napoléon"
En France, il est interdit aux propriétaires de cochons de nommer l'un ou plusieurs de leurs animaux "Napoléon". L'empereur, quelque peu susceptible, a obtenu qu'aucun citoyen français n'ait le droit de nommer son cochon "Napoléon", de peur que cela ne ternisse son image. Il faut dire que cet animal a la mauvaise réputation de vivre au milieu de ses propres déchets et ne confère pas une image très positive à celui dont il porte le nom. Ainsi, faire le choix de nommer son cochon "Napoléon" était passible de lourdes peines. Cette loi, notons-le, demeure en vigueur aujourd'hui en France.
2. Interdiction du port du pantalon pour les Parisiennes
En l'an 1800, une nouvelle loi vient interdire le port du pantalon ou de vêtements considérés comme masculins par les femmes. Cette pratique était alors qualifiée par le Code civil de "travestissement" et l'on accusait les femmes de vouloir imiter les hommes. Les Parisiennes, à ce moment-là, n'avaient le droit de porter que des robes ou des tenues dites "féminines". Si une femme voulait absolument porter un pantalon, elle devait préalablement obtenir une autorisation de la Préfecture de police, en indiquant les motifs pour lesquels elle souhaitait le faire. Fait encore plus remarquable : cette loi n'a été abrogée de manière officielle qu'en 2013 !
3. Interdiction aux Ovnis de survoler des territoires français
En 1954, à Châteauneuf-du-Pape, dans la vallée du Rhône, plusieurs citoyens et groupes d'individus font état d'observations récurrentes d'Ovnis. Ils décrivent des objets de formes circulaires qu'ils auraient observées, rodant au-dessus de leurs maisons ou en plein centre-ville, créant un véritable vent de panique auprès de la population. Afin de soulager la peur des habitants de voir une soucoupe volante atterrir dans leur jardin, le préfet de Police prend alors une décision radicale : faire interdire les atterrissages d'Ovnis dans cette commune.
4. La possibilité d'invoquer l'état d'urgence sur le territoire algérien
En 1955, en pleine Guerre d'Algérie, les autorités françaises votent une loi leur permettant de déclarer l'état d'urgence sur le territoire algérien. Cette loi leur permettait de fermer n'importe quel lieu public ou de procéder à des réquisitions d'armes. De même, elle leur permettait d'interpeller n'importe quel citoyen algérien à titre préventif et de le juger conformément à la loi française. Cette loi n'a été abrogée de manière officielle qu'en 2011, alors que la Guerre d'Algérie a officiellement pris fin en 1962.
5. La diffusion de la musique française a la radio
Une loi toujours en vigueur impose aux stations de radios de diffuser un contenu avec moins 70 % de chansons françaises aux heures de grande écoute, c'est-a-dire entre 8 heures et 20 heures. Les chaines de radio sont obligées de se conformer à cette programmation, sous peine de se voir infliger des amendes ou même de risquer la fermeture de leurs locaux. Cette loi a été adoptée par les Autorités françaises en 1994 et est toujours en vigueur aujourd'hui, bien qu'elle ne soit pas appliquée de manière stricte. Elle est néanmoins très inadaptée aux plateformes de streaming telles que YouTube, Deezer ou Spotify.
Numéro 5 : Interdiction de nommer son cochon "Napoléon"
En France, il est interdit aux propriétaires de cochons de nommer l’un ou plusieurs de leurs animaux “Napoléon”. L’empereur, quelque peu susceptible, a obtenu qu’aucun citoyen français n’ait le droit de nommer son cochon “Napoléon”, de peur que cela ne ternisse son image. Il faut dire que cet animal a la mauvaise réputation de vivre au milieu de ses propres déchets et ne confère pas une image très positive à celui dont il porte le nom. Ainsi, faire le choix de nommer son cochon “Napoléon” était passible de lourdes peines. Cette loi, notons-le, demeure en vigueur aujourd’hui en France.
Numéro 4 : Interdiction du port du pantalon pour les Parisiennes
En l’an 1800, une nouvelle loi vient interdire le port du pantalon ou de vêtements considérés comme masculins par les femmes. Cette pratique était alors qualifiée par le Code civil de “travestissement” et l’on accusait les femmes de vouloir imiter les hommes. Les Parisiennes, à ce moment-là, n’avaient le droit de porter que des robes ou des tenues dites “féminines”. Si une femme voulait absolument porter un pantalon, elle devait préalablement obtenir une autorisation de la Préfecture de police, en indiquant les motifs pour lesquels elle souhaitait le faire. Fait encore plus remarquable : cette loi n’a été abrogée de manière officielle qu’en 2013 !
Numéro 3 : Interdiction aux Ovnis de survoler des territoires français
En 1954, à Châteauneuf-du-Pape, dans la vallée du Rhône, plusieurs citoyens et groupes d’individus font état d’observations récurrentes d’Ovnis. Ils décrivent des objets de formes circulaires qu’ils auraient observées, rodant au-dessus de leurs maisons ou en plein centre-ville, créant un véritable vent de panique auprès de la population. Afin de soulager la peur des habitants de voir une soucoupe volante atterrir dans leur jardin, le préfet de Police prend alors une décision radicale : faire interdire les atterrissages d’Ovnis dans cette commune.
Numéro 2 : La possibilité d'invoquer l'état d'urgence sur le territoire algérien
En 1955, en pleine Guerre d’Algérie, les autorités françaises votent une loi leur permettant de déclarer l’état d’urgence sur le territoire algérien. Cette loi leur permettait de fermer n’importe quel lieu public ou de procéder à des réquisitions d’armes. De même, elle leur permettait d’interpeller n’importe quel citoyen algérien à titre préventif et de le juger conformément à la loi française. Cette loi n’a été abrogée de manière officielle qu’en 2011, alors que la Guerre d’Algérie a officiellement pris fin en 1962.
Numéro 1 : La diffusion de la musique française a la radio
Une loi toujours en vigueur impose aux stations de radios de diffuser un contenu avec moins 70 % de chansons françaises aux heures de grande écoute, c’est-a-dire entre 8 heures et 20 heures. Les chaines de radio sont obligées de se conformer à cette programmation, sous peine de se voir infliger des amendes ou même de risquer la fermeture de leurs locaux. Cette loi a été adoptée par les Autorités françaises en 1994 et est toujours en vigueur aujourd’hui, bien qu’elle ne soit pas appliquée de manière stricte. Elle est néanmoins très inadaptée aux plateformes de streaming telles que YouTube, Deezer ou Spotify.