Les jeux étaient nombreux et très répandus au Moyen âge, toutefois, ils étaient synonyme de barbarie.
Top 5 des meilleurs jeux médiévaux
Au Moyen Âge, il y avait de nombreux jours fériés qui laissaient beaucoup de temps pour les sports et les jeux. Certains sports étaient violents, dangereux et cruels. Que les victimes soient des animaux ou des êtres humains ne semblait pas important pour le spectateur médiéval. Les droits des animaux n'étaient certainement pas à l'ordre du jour. Les sports deviennent donc le seul moyen de s'entraîner pour la vraie guerre.
1. La chasse
La noblesse et l'aristocratie considéraient la chasse aux sangliers, aux ours et aux cerfs comme une activité prestigieuse. Cette activité leur donne l’occasion de mettre en valeur leurs compétences équestres et de tir. Chasser était aussi le meilleur moyen de fournir de la nourriture pour les banquets.
Malgré les risques liés à cette activité, seuls les propriétaires fonciers et la noblesse étaient autorisés à chasser. La colère des classes inférieures était évidemment suscitée, car ils risquaient de subir des punitions cruelles pour braconnage.
2. La joute équestre
La joute est un sport périlleux qui a émergé de l'héritage des jeux de gladiateurs romains. Elle implique deux chevaliers montés sur des chevaux et en armure complète, chargeant l'un vers l'autre avec des lances. Les collisions sont fréquentes, les lances souvent brisées, et les blessures graves, voire mortelles, sont courantes.
La joute devient donc, un moyen de tester les compétences d'un chevalier et servait d'entraînement pour la guerre. Les règles étaient strictes, les procédures bien établies, et les prix étaient distribués par les dames de la cour.
3. L'archerie
Au Moyen Âge en Angleterre, les hommes doivent posséder un arc et des flèches. L'archerie se voit être une compétence vitale pour la guerre. Les archers à longue portée étaient extrêmement bien entraînés, pouvant tirer jusqu'à 12 flèches en 60 secondes. Les arcs longs étaient particulièrement efficaces en combat.
Avec l'émergence de la bourgeoisie en Europe, des compétitions populaires d'archerie voient le jour. Ces dernières étaient souvent accompagnées de foires et de banquets, mais elles étaient réservées aux membres des classes supérieures.
4. Le lancer de marteau
Le lancer de marteau remonte à l'histoire ancienne des jeux celtiques en Irlande, datant d'environ 2000 ans avant J.-C. Les premiers compétiteurs utilisaient une roue de charrette, inspirée par le héros légendaire Cuchulainn. En Écosse, le lancer de marteau est devenu populaire après l'interdiction des armes par Édouard Ier. Le but du jeu est de lancer le marteau le plus loin possible, nécessitant vitesse, force et précision.
Le lancer de marteau engendre des accidents mortels, toutefois, désormais les spectateurs se mettent derrière les barrières. Dans les reconstitutions de foires médiévales, il est d'usage de couvrir la tête du marteau avec une couverture douce.
5. Les duels
Au Moyen Âge, les duels étaient une pratique courante, souvent utilisés comme une préparation à la guerre. En temps de paix, les duels représentent la défense de l'honneur d'un homme ou le combat pour gagner la main d'une femme.
Le duel devient une méthode de résolution de conflits, car selon les croyances l’innocent obtient le soutien de Dieu. Par conséquent, le vainqueur du duel ne serait pas considéré comme un meurtrier et sa position sociale serait souvent renforcée.
Numéro 5 : La chasse
La noblesse et l’aristocratie considéraient la chasse aux sangliers, aux ours et aux cerfs comme une activité prestigieuse. Cette activité leur donne l’occasion de mettre en valeur leurs compétences équestres et de tir. Chasser était aussi le meilleur moyen de fournir de la nourriture pour les banquets. Malgré les risques liés à cette activité, seuls les propriétaires fonciers et la noblesse étaient autorisés à chasser. La colère des classes inférieures était évidemment suscitée, car ils risquaient de subir des punitions cruelles pour braconnage.
Numéro 4 : La joute équestre
La joute est un sport périlleux qui a émergé de l’héritage des jeux de gladiateurs romains. Elle implique deux chevaliers montés sur des chevaux et en armure complète, chargeant l’un vers l’autre avec des lances. Les collisions sont fréquentes, les lances souvent brisées, et les blessures graves, voire mortelles, sont courantes. La joute devient donc, un moyen de tester les compétences d’un chevalier et servait d’entraînement pour la guerre. Les règles étaient strictes, les procédures bien établies, et les prix étaient distribués par les dames de la cour.
Numéro 3 : L'archerie
Au Moyen Âge, en Angleterre, les hommes doivent posséder un arc et des flèches. L’archerie se voit être une compétence vitale pour la guerre. Les archers à longue portée étaient extrêmement bien entraînés, pouvant tirer jusqu’à 12 flèches en 60 secondes. Les arcs longs étaient particulièrement efficaces en combat. Avec l’émergence de la bourgeoisie en Europe, des compétitions populaires d’archerie voient le jour. Ces dernières étaient souvent accompagnées de foires et de banquets, mais elles étaient réservées aux membres des classes supérieures.
Numéro 2 : Le lancer de marteau
Le lancer de marteau remonte à l’histoire ancienne des jeux celtiques en Irlande, datant d’environ 2000 ans avant J.-C. Les premiers compétiteurs utilisaient une roue de charrette, inspirée par le héros légendaire Cuchulainn. En Écosse, le lancer de marteau est devenu populaire après l’interdiction des armes par Édouard Ier. Le but du jeu est de lancer le marteau le plus loin possible, nécessitant vitesse, force et précision. Le lancer de marteau engendre des accidents mortels, toutefois, désormais les spectateurs se mettent derrière les barrières. Dans les reconstitutions de foires médiévales, il est d’usage de couvrir la tête du marteau avec une couverture douce.
Numéro 1 : Les duels
Au Moyen Âge, les duels étaient une pratique courante, souvent utilisés comme une préparation à la guerre. En temps de paix, les duels représentent la défense de l’honneur d’un homme ou le combat pour gagner la main d’une femme. Le duel devient une méthode de résolution de conflits, car selon les croyances l’innocent obtient le soutien de Dieu. Par conséquent, le vainqueur du duel ne serait pas considéré comme un meurtrier et sa position sociale serait souvent renforcée.