Il y a des objets ordinaires auxquels on n’accorde pas d’importance… Pourtant, certains de ces objets ont rendu leur propriétaire riche !
Top 5 des objets ordinaires qui ont rendu leurs propriétaires riches
Il est arrivé que des personnes réalisent qu'une fortune se trouvait dans leur tiroir, leur jardin ou leur salle de bains. Ces objets, qui leur ont permis de faire fortune, étaient bien moins rares qu'une œuvre d'art, puisqu'il s'agissait de choses que tout le monde peut trouver à des prix bas dans le commerce. Parfois, même pas !
1. Une tasse de café
Par une froide journée d'hiver, Stella Liebeck et son neveu se rendent au drive-in d'un McDonald's. Ils commandent un café chaud que Stella Liebeck renverse sur ses genoux alors que son neveu démarrait la voiture. Elle a alors poursuivi en justice cette chaîne de restaurants afin d'obtenir des dommages-intérêts et elle a obtenu gain de cause. Le jury lui a accordé une compensation de 3 millions de dollars. Par la suite, le juge a décidé de baisser le montant à 500 000 $. Ainsi, une boisson tout à fait ordinaire peut vous rendre riche !
2. Un rocher
Gary Dahl se trouvait dans un bar lorsqu'il a imaginé un concept qui a permis à son entreprise de gagner plus d'un million de dollars. Dahl s'est rendu compte que les pierres constituaient des animaux de compagnie parfaits, et il a concrétisé cette idée. Dahl a vendu des pierres dans des boîtes en carton pour seulement 4 dollars la pierre. Un mode d'emploi fourni dans le paquet explique comment entretenir la pierre et les choses qu'il est possible de lui apprendre.
3. De l'air
L'expérience de deux Canadiens a démontré que les consommateurs sont disposés à acheter l'air qu'ils respirent quand ils ont commencé à le mettre en bouteille dans les montagnes Rocheuses. Les deux compères ont fixé le prix de 24 $ pour chaque boîte remplie d'air. Des clients en provenance de Chine, qui étouffent dans leurs villes remplies de pollution, ont acheté ces bouteilles en croyant pouvoir respirer un air sain et pur.
4. Un ressort
Durant la Seconde Guerre mondiale, Richard James travaillait dans un atelier lorsqu'il a fait tomber un ressort d'une étagère. À sa grande surprise, le ressort s'est enroulé quelque peu avant de toucher le sol. Une idée lui est alors venue à l'esprit : pourquoi ne pas en faire un jouet pour les enfants ? Après deux ans de "bricolage", il a pu fabriquer un jouet à partir d'un simple ressort. Sa femme, Betty James, prend un dico et l'appelle le "slinky". Ils ont contracté un prêt de 500 $ et ont bâti une société qui continue encore de vendre des jouets.
5. Des poubelles
Justin Gignac est un New-Yorkais qui était persuadé que si l'on savait présenter un produit, il se vendrait. Il a donc commencé à collecter des déchets et les a mis dans des boîtes en verre. Suite à quoi, il les a proposés à la vente pour 10 $ l'unité, suggérant que les gens en fassent des souvenirs. Gignac a ensuite augmenté le prix à 50 $, et les gens se sont mis à les acheter comme s'il s'agissait d'œuvres d'art. De nos jours, les ordures new-yorkaises se vendent à 100 $ l'unité.
Numéro 5 : Une tasse de café
Par une froide journée d’hiver, Stella Liebeck et son neveu se rendent au drive-in d’un McDonald’s. Ils commandent un café chaud que Stella Liebeck renverse sur ses genoux alors que son neveu démarrait la voiture. Elle a alors poursuivi en justice cette chaîne de restaurants afin d’obtenir des dommages-intérêts et elle a obtenu gain de cause. Le jury lui a accordé une compensation de 3 millions de dollars. Par la suite, le juge a décidé de baisser le montant à 500 000 $. Ainsi, une boisson tout à fait ordinaire peut vous rendre riche !
Numéro 4 : Un rocher
Gary Dahl se trouvait dans un bar lorsqu’il a imaginé un concept qui a permis à son entreprise de gagner plus d’un million de dollars. Dahl s’est rendu compte que les pierres constituaient des animaux de compagnie parfaits, et il a concrétisé cette idée. Dahl a vendu des pierres dans des boîtes en carton pour seulement 4 dollars la pierre. Un mode d’emploi fourni dans le paquet explique comment entretenir la pierre et les choses qu’il est possible de lui apprendre.
Numéro 3 : De l'air
L’expérience de deux Canadiens a démontré que les consommateurs sont disposés à acheter l’air qu’ils respirent quand ils ont commencé à le mettre en bouteille dans les montagnes Rocheuses. Les deux compères ont fixé le prix de 24 $ pour chaque boîte remplie d’air. Des clients en provenance de Chine, qui étouffent dans leurs villes remplies de pollution, ont acheté ces bouteilles en croyant pouvoir respirer un air sain et pur.
Numéro 2 : Un ressort
Durant la Seconde Guerre mondiale, Richard James travaillait dans un atelier lorsqu’il a fait tomber un ressort d’une étagère. À sa grande surprise, le ressort s’est enroulé quelque peu avant de toucher le sol. Une idée lui est alors venue à l’esprit : pourquoi ne pas en faire un jouet pour les enfants ? Après deux ans de “bricolage”, il a pu fabriquer un jouet à partir d’un simple ressort. Sa femme, Betty James, prend un dico et l’appelle le “slinky”. Ils ont contracté un prêt de 500 $ et ont bâti une société qui continue encore de vendre des jouets.
Numéro 1 : Des poubelles
Justin Gignac est un New-Yorkais qui était persuadé que si l’on savait présenter un produit, il se vendrait. Il a donc commencé à collecter des déchets et les a mis dans des boîtes en verre. Suite à quoi, il les a proposés à la vente pour 10 $ l’unité, suggérant que les gens en fassent des souvenirs. Gignac a ensuite augmenté le prix à 50 $, et les gens se sont mis à les acheter comme s’il s’agissait d’œuvres d’art. De nos jours, les ordures new-yorkaises se vendent à 100 $ l’unité.