Chaque culture a certains rituels qui peuvent sembler étranges au monde, mais que dire des scientifiques ?
Top 5 des traditions scientifiques étranges
Bien qu'ils soient partisans de la logique et de la raison, les scientifiques et les chercheurs sont étonnamment superstitieux et ont une multitude de traditions déroutantes et souvent bizarres. Pour vous faire une meilleure idée, nous vous présentons le Top 5 des traditions scientifiques les plus étranges.
1. Le NORAD traque le Père Noël
Pour ceux qui ne le savent pas, chaque année depuis 1955, le Commandement de la défense aérospatiale NORAD localise le Père Noël, en temps réel, pour tous les enfants du monde. Cette tradition a débuté par accident dans les années 50. Un journal a indiqué, par erreur, que le numéro d'un NORAD pouvait être contacté pour parler au Père Noël.
Selon la légende, un commandant de l'armée de l'air amusé a donné l'ordre de donner une localisation approximative de l'endroit où se trouvait le Père Noël à tous ceux qui appelaient.
2. Les techniciens de la NASA mangent des cacahuètes
La tradition remonte à 1964 : lorsqu'un technicien distrait a ouvert un énorme bocal de cacahuètes pendant la mission Ranger 7. Comme son nom l'indique, Ranger 7 était la 7e sonde envoyée pour caresser la surface de la Lune. Elle a l'honneur d'être la première à avoir réussi.
Les techniciens de la NASA, qui sont des modèles de raisonnement logique, ont attribué ce succès aux cacahuètes et en mangent désormais avant l'atterrissage de chaque sonde pour leur porter chance.
3. Les techniciens de la NASA mangent aussi des haricots
Une autre des traditions scientifiques étranges de la Nasa : manger beaucoup de haricots chaque fois qu'un lancement de fusée est réussi. Cette tradition est décrite par les techniciens de la NASA comme "un moyen pour se défouler". Plus précisément, elle permet à des personnes de toute la hiérarchie de la NASA de manger ensemble afin de renforcer le moral de l'équipe. C'est aussi probablement une excuse pour faire une quantité incroyable de blagues sur le thème de la préparation au décollage le jour suivant.
4. Les cosmonautes urinent sur les roues d'un bus
Avant de partir en orbite, les cosmonautes russes doivent accomplir une longue liste de tâches apparemment insignifiantes. Cela peut être planter un arbre, graver son nom sur une porte ou pisser sur les roues du bus qui les emmène sur le pas de tir. Les cosmonautes font cela en l'honneur de Youri Gagarine, le premier cosmonaute, qui aurait lui-même accompli toutes ces tâches avant le décollage. Les cosmonautes prennent réellement ces traditions au sérieux.
5. Les scientifiques du pôle Sud d'Amundsen-Scott regardent The Thing
La station du pôle Sud d'Amundsen-Scott représente l'un des environnements de travail les plus difficiles. Ce sont aussi les plus isolés que l'on connaisse. Avant d'y travailler, les chercheurs doivent passer une série d'examens psychologiques. Il s'agit de s'assurer qu'ils peuvent supporter l'idée d'être piégés dans une base de recherche arctique.
Alors, comment les scientifiques et les chercheurs de la base célèbrent-ils le début d'une période de travail de plusieurs mois en hiver ? En regardant The Thing ! Oui, oui, ce film sur un monstre extraterrestre qui assassine des personnes piégées dans une base.
Numéro 5 : Le NORAD traque le Père Noël
Pour ceux qui ne le savent pas, chaque année depuis 1955, le Commandement de la défense aérospatiale NORAD localise le Père Noël, en temps réel, pour tous les enfants du monde. Cette tradition a débuté par accident dans les années 50. Un journal a indiqué, par erreur, que le numéro d’un NORAD pouvait être contacté pour parler au Père Noël. Selon la légende, un commandant de l’armée de l’air amusé a donné l’ordre de donner une localisation approximative de l’endroit où se trouvait le Père Noël à tous ceux qui appelaient.
Numéro 4 : Les techniciens de la NASA mangent des cacahuètes
La tradition remonte à 1964 : lorsqu’un technicien distrait a ouvert un énorme bocal de cacahuètes pendant la mission Ranger 7. Comme son nom l’indique, Ranger 7 était la 7e sonde envoyée pour caresser la surface de la Lune. Elle a l’honneur d’être la première à avoir réussi. Les techniciens de la NASA, qui sont des modèles de raisonnement logique, ont attribué ce succès aux cacahuètes et en mangent désormais avant l’atterrissage de chaque sonde pour leur porter chance.
Numéro 3 : Les techniciens de la NASA mangent aussi des haricots
Il est également de tradition de manger beaucoup de haricots chaque fois qu’un lancement de fusée est réussi. Cette tradition est décrite par les techniciens de la NASA comme « un moyen pour se défouler ». Plus précisément, elle permet à des personnes de toute la hiérarchie de la NASA de manger ensemble afin de renforcer le moral de l’équipe. C’est aussi probablement une excuse pour faire une quantité incroyable de blagues sur le thème de la préparation au décollage le jour suivant.
Numéro 2 : Les cosmonautes urinent sur les roues d'un bus
Avant de partir en orbite, les cosmonautes russes doivent accomplir une longue liste de tâches apparemment insignifiantes. Cela peut être planter un arbre, graver son nom sur une porte ou pisser sur les roues du bus qui les emmène sur le pas de tir. Les cosmonautes font cela en l’honneur de Youri Gagarine, le premier cosmonaute, qui aurait lui-même accompli toutes ces tâches avant le décollage. Les cosmonautes prennent réellement ces traditions au sérieux.
Numéro 1 : Les scientifiques du pôle Sud d'Amundsen-Scott regardent The Thing
La station du pôle Sud d’Amundsen-Scott représente l’un des environnements de travail les plus difficiles et les plus isolés que l’on connaisse. Avant d’y travailler, les chercheurs doivent passer une série d’examens psychologiques pour s’assurer qu’ils peuvent supporter l’idée d’être piégés dans une base de recherche arctique. Alors, comment les scientifiques et les chercheurs de la base célèbrent-ils le début d’une période de travail de plusieurs mois en hiver ? En regardant The Thing ! Oui oui, ce film sur un monstre extraterrestre qui assassine un groupe de personnes piégées dans une base de recherche arctique.