Pouvez-vous imaginer que de simples pratiques banales de notre quotidien étaient auparavant taboues et pratiquement infaisables ?
Top 5 des trucs normaux qui étaient tabous il y a 100 ans
Par Modifié le 25/05/2023 à 21:58
Le vingtième siècle, une période exceptionnelle pendant laquelle le monde a connu des bouleversements dans ses quatre coins, sur tous les plans et qui a concouru à faire de notre époque ce qu'elle est maintenant. Entre les guerres mondiales, le développement des moyens de transport, les armes de destruction massive et l'aversion à consommer des ailes de poulet (quelle horreur !), on se rend bien compte qu'on a fait pas mal de chemin depuis, etc. Voici les cinq trucs tabous qu'on trouve complètement fous aujourd'hui.
1. Manger des ailes de poulet
C'était carrément impensable et dégueulasse d'en manger. En effet, au 20ᵉ siècle, on considérait que les ailes ne valaient pas plus que le cou, des abats répugnants. En fait, ce n'est qu'en 1964 que Teressa Bellissimo qui tenait un bar-resto les a popularisées en ayant le désagrément de n'avoir reçu que des wings à la place du blanc. Elle a donc conjugué avec, en les sautant et en inventant la sauce barbecue. Avec Teressa pas de gaspillage !
2. Sourire sur les photos
Pas question d'afficher un sourire sur les photos ! Quand la photographie faisait ses débuts, les appareils photos ne courraient pas les rues et ça coutait un bras pour pouvoir en faire. Du coup, au lieu de sourire comme un imbécile sur une photo, il fallait avoir de la dégaine et paraître comme quelqu'un au regard profond pour ne pas la gâcher. Ce n'est bien qu'après que les gens ont commencé à se détendre, etc.
Il existe une citation de Mark Twain en la matière qui est assez édifiante : « Une photo, c’est ce qu’il y a de plus important, et il n’est rien de plus dramatique pour la postérité qu’un sourire ridicule capturé par l’appareil et figé pour l’éternité. »
3. Porter du violet
Il semblerait que cette couleur était étroitement associée à des pratiques diaboliques. On raconte qu'autrefois n'importe quelle personne qui regarderait longtemps cette couleur deviendrait folle. Car selon certains, elle symbolisait la fourberie et la tristesse, et était associée à la pénitence et à l'affliction. C'était apparemment la couleur à éviter !
4. Utiliser un parapluie
Les ombrelles étaient considérées comme des accessoires de femmes, un homme qui voulait montrer sa virilité ne devait pas se balader en parapluie. Ceux qui avaient quand même l'audace de le faire étaient très mal vus. Comme quoi, ils n'avaient pas assez de courage pour affronter la pluie. Les gens se foutaient d'ailleurs ouvertement de leurs gueules.
5. Envoyer ses gosses à l'école
Les enfants seraient probablement d'accord avec ça, mais cela était valable seulement aux États-Unis en 1900. Tandis que, uniquement la moitié des enfants se rendaient à l'école, l'autre moitié apprenait à la maison.
En outre, pas mal de débats tournaient autour de la question de l'école obligatoire au sein du sénat. En effet, certains conservateurs remettaient cela en question, et jugeaient que c'était anticonstitutionnel et anti-démocratique. Bref, c'était un choix limite dictatorial ! Encore heureux que les temps ont changé et que l'accessibilité à l'école est possible pour la plupart des enfants.
Numéro 5 : Manger des ailes de poulet
C’était carrément impensable et dégueulasse d’en manger. En effet, au 20ᵉ siècle, on considérait que les ailes ne valaient pas plus que le cou, des abats répugnants. En fait, ce n’est qu’en 1964 que Teressa Bellissimo qui tenait un bar-resto les a popularisées en ayant le désagrément de n’avoir reçu que des wings à la place du blanc. Elle a donc conjugué avec, en les sautant et en inventant la sauce barbecue. Avec Teressa pas de gaspillage !
Numéro 4 : Sourire sur les photos
Pas question d’afficher un sourire sur les photos ! Quand la photographie faisait ses débuts, les appareils photos ne courraient pas les rues et ça coutait un bras pour pouvoir en faire. Du coup, au lieu de sourire comme un imbécile sur une photo, il fallait avoir de la dégaine et paraître comme quelqu’un au regard profond pour ne pas la gâcher. Ce n’est bien qu’après que les gens ont commencé à se détendre, etc. Il existe une citation de Mark Twain en la matière qui est assez édifiante : « Une photo, c’est ce qu’il y a de plus important, et il n’est rien de plus dramatique pour la postérité qu’un sourire ridicule capturé par l’appareil et figé pour l’éternité. »
Numéro 3 : Porter du violet
Il semblerait que cette couleur était étroitement associée à des pratiques diaboliques. On raconte qu’autrefois n’importe quelle personne qui regarderait longtemps cette couleur deviendrait folle. Car selon certains, elle symbolisait la fourberie et la tristesse, et était associée à la pénitence et à l’affliction. C’était apparemment la couleur à éviter !
Numéro 2 : Utiliser un parapluie
Les ombrelles étaient considérées comme des accessoires de femmes, un homme qui voulait montrer sa virilité ne devait pas se balader en parapluie. Ceux qui avaient quand même l’audace de le faire étaient très mal vus. Comme quoi, ils n’avaient pas assez de courage pour affronter la pluie. Les gens se foutaient d’ailleurs ouvertement de leurs gueules.
Numéro 1 : Envoyer ses gosses à l'école
Les enfants seraient probablement d’accord avec ça, mais cela était valable seulement aux États-Unis en 1900. Tandis que, uniquement la moitié des enfants se rendaient à l’école, l’autre moitié apprenait à la maison. En outre, pas mal de débats tournaient autour de la question de l’école obligatoire au sein du sénat. En effet, certains conservateurs remettaient cela en question, et jugeaient que c’était anticonstitutionnel et anti-démocratique. Bref, c’était un choix limite dictatorial ! Encore heureux que les temps ont changé et que l’accessibilité à l’école est possible pour la plupart des enfants.
