Pour faire face à la cruauté envers les animaux
Vidéo – Life’s a Cage, le film qui défend la cause animale bientôt diffusé
My LIFE’S A CAGE" est l’une de nos chansons à caractère militant, dont on veut faire un clip. Le sujet, ce sont les animaux qui partent à l’abattoir. En chantant ce texte, on se met à la place du veau, du cochon ou du poulet qui avance dans le couloir de la mort. On y parle de leur terreur, de leur incompréhension face à une situation effroyable : car il ne faut pas prendre les animaux pour des êtres inintelligents, insensibles et sans personnalité. On sait très bien aujourd’hui que ce ne sont pas des robots. Pour les sceptiques, la science a fait beaucoup d’études là-dessus, ces quinze dernières années. Et ce traitement inhumain qu’on leur inflige est insupportable. Il n’est pas digne de nous. On fait grandir ces animaux dans des conditions calamiteuses, pour finir par les tuer, en les faisant souffrir de façon éhontée. Il ne faut pas fermer les yeux sur ça, sous prétexte que ce sont des animaux. Car le but final de ces tortures et de ces massacres en règle ne sert que le plaisir égoïste de chacun : l’objectif ici n’est plus notre survie, ni même notre bien-être alimentaire, mais seulement prendre du plaisir pour les manger en sauce, s’en vêtir ou tester nos crèmes de jour. On pourrait si facilement faire autrement !
Nous pensons que l'enjeu est politique, moral, philosophique. Aujourd’hui les industries alimentaires et pharmaceutiques font des profits colossaux sur une montagne de souffrance, tout en détruisant la planète. Si l’être humain, animal parmi d’autres animaux, veut continuer d'aller dans le sens de son Histoire, c'est-à-dire dans le sens du progrès, de l'élévation, il sera contraint d'abandonner ces coutumes moyenâgeuses, de la même façon qu'il a légiféré contre l’esclavagisme humain, la torture, le sexisme, et tout ce qui fait du mal à l’autre en général
Life's a cage a bénéficié d'un financement participatif, il sera diffusé le 9 septembre lors d'une soirée parrainée par le philosophe Frédéric Lenoir. Des personnalités ont participé à ce court-métrage comme Aymeric Caron ou Camille Lacourt.