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Le gaz est coupé

 

Source : ytimg

 

Les sujets entrent dans une folle frénésie. Ils attaquent les scientifiques, avec une force quasi-inhumaine, d'autant plus étonnante dans leur état. Ils vont jusqu'à arracher les testicules d'un garde qui meurt sous le choc ! Cinq soldats perdent la vie sous cet accès de rage.

L'organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d'entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire.

 

Les trois survivants supplient les scientifiques de ne pas les endormir

 

Source : listverse

 

Ils veulent à tout prix rester éveillés. Ils refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leur blessures à vif !

Un autre cobaye meurt rapidement. Les scientifiques procèdent à une autopsie et se rendent compte que 9 de ses os sont brisés. Il semble qu'ils se soient broyés sous la pression que les muscles exerçait sur eux !

 

Source : pixshark

 

Le deuxième exprime son contentement de sa voix endommagée à chaque fois que le scalpel découpe sa chair.

Le troisième murmure simplement : «  Je dois rester éveillé... »

 

Les scientifiques sont très intrigués

 

Source : furtherglory

 

Ils veulent en savoir plus, et veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. L'un s'endort avant d'avoir pu y retourner. Il entre dans un sommeil agité et meurt d'une crise cardiaque.

Le deuxième sujet s'enrage et demande à être enfermé de nouveau avec le gaz stimulant. Il se jette sur l'arme de l'un des soldats et tue deux chercheurs. Il est ensuite maîtrisé.

 

Le chef du projet pointe une arme vers le dernier cobaye

 

Source : imgur

 

Le responsable des scientifiques, pistolet au poing, est furieux de la tournure des évènements. Il hurle au dernier des cinq, désespéré : «  QU'ÊTES-VOUS ? Je dois savoir ! »

 

Le sujet esquisse un horrible sourire. Il répond...

 

Source : skeptoid

 

« L'avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »

 

Le scientifique recule d'un pas, puis vise le cœur du survivant, et tire. Dans son dernier souffle, le cobaye murmure « Si... près... d'être libres... »

 

Et vous... quel genre de monstre sommeille en vous ?

 

Source : deviantart (tandi1993)