5 bouleversantes explications scientifiques qui remettent en question la réalité de notre monde

Lorsque l'on se penche sur ce que nous dit la physique quantique, on hallucine. En effet, il serait possible que notre monde ne soit qu'une réalité virtuelle !

 

Notre univers connait une vitesse maximum

 

 

Dans la réalité physique : suivant la théorie d'Albert Einstein, rien ne peut aller plus vite que la lumière se déplaçant dans le vide. Depuis, on considère ce fait comme une constante avérée, même si on ne sait pas vraiment pourquoi. On dit : "La vitesse de la lumière est une constante et c'est comme ça". Mais en sciences, on ne peut pas décemment répondre à "Pourquoi rien ne peut aller plus vite que la lumière ?" par un simple "Parce que". On sait que la lumière est moins rapide dans le verre ou l'eau, mais en réalité, on n'a aucune idée de comment la lumière se déplace dans le vide total.

 

Dans la réalité quantique : là, il faut réfléchir différemment. Si notre monde est une réalité virtuelle, il est le produit de traitements d'informations. Notre monde s'actualiserait selon un rythme défini. Mais quelle est la vitesse de ce rythme ? Un ordinateur ultra puissant peut actualiser ses données 10 millions de milliards de fois par seconde et notre univers le fait des milliards de fois plus vite, mais vous avez compris le principe. Les moyens de mesurer cette "autre" vitesse sont la longueur de Planck et le temps de Planck. Dans ce scénario, aucune information ne peut être transmise plus rapidement qu'un cycle (la longueur de Planck divisée par le temps de Planck), qui équivaut à 300 000 km/secondes. Ici, on ne parle plus vraiment de la vitesse de la lumière, mais de la vitesse de l'espace !

 

Le temps n'est pas fixe, il est malléable

 

 

Dans la réalité physique : grâce aux accélérateurs de particules, on a réussi à prouver que le temps pouvait ralentir. Dans les années 70, des scientifiques ont envoyé des montres atomiques dans des avions autour du monde pour prouver qu'elles voyaient leur temporalité se modifier. C'est l'idée du "paradoxe des jumeaux d'Einstein". Dans cette fiction, un des frères jumeaux voyage pendant une année dans une fusée qui l'élance presque à la vitesse de la lumière. Lorsqu'il revient sur Terre, son frère à presque 80 ans, mais aucun des deux ne s'est rendu compte de la distorsion du temps. Alors, comment peut-on la prouver ?

 

Dans la réalité quantique : si on considère que notre réalité est en fait virtuelle, le temps aussi est virtuel. Comme on l'a vu dans le point 1, on représente par une unité de temps (disons une seconde) un cycle de traitement d'informations. Le temps se modifie donc selon la vitesse de traitement de ces informations. Le temps ralentirait lorsqu'il y aurait de trop nombreuses informations à traiter, ou lorsqu'il se trouverait près de corps très lourds (comme les trous noirs). Une réalité que l'on connait, par exemple lorsque notre ordinatur se fige parce qu'il a trop de données à traiter. Dans cette idée là, le jumeau dans la fusée n'a vieilli que d'un an tout simplement parce que le système n'a pas pu traiter plus de données à cette allure !

 

Notre espace se courbe

 

 

Dans la réalité physique : si l'on se réfère à la théorie de la relativité d'Einstein, le Soleil réussit à garder la planète Terre autour de lui en courbant l'espace autour d'elle, comme c'est mignon. Mais si on y réfléchit, si l'espace représente tout, comment peut-il se courber ? Uniquement s'il est présent à l'intérieur d'un autre espace ! C'est une régression infinie, comme le principe des poupées russes. Mais si la matière existe dans un espace réellement vide, cet espace ne peut pas se courber ni même bouger. Il est vide.

 

Dans la réalité quantique : ici, on aborde le problème d'une toute autre manière. Le vide total n'existe pas, ce qui existe, c'est un programme mis sur "vide". On considère que le vide spatial est une succession de traitements qui produisent une pression semblable à celles entre deux assiettes plates proches l'une de l'autre : c'est l’effet Casimir. Dans cette conception des choses (l’espace vu comme un réseau d’informations) le monde peut être présenté comme une réalité en 3 dimensions capable de se courber.

 

Sur la matière noire et l'énergie sombre de l'univers

 

 

Dans la réalité physique : dans notre réalité, nous avons la matière telle que nous la voyons tous les jours, mais aussi une autre chose que l'on définit comme de la matière noire. Elle est 5 fois plus répandue que la matière ! Elle se trouve autour des trous noirs et permet aux étoiles de se maintenir ensemble avec plus de réussite que la gravité. Sans cette matière noire, les étoiles s'éloigneraient de manière irréversible.

Le souci, c'est qu'aucune particule connue ne peut définir et englober ce qu'est la matière noire. Pareil pour l'énergie sombre qui compose 70% de notre galaxie. On l'explique comme une gravité négative, qui se déplace dans l'univers, repousse les éléments et participerait par conséquent à l'expansion de l'univers. Mais tout cela est très théorique. Les preuves manquent. Surtout que son expansion devrait aussi causer son affaiblissement, mais il n'en est rien. Pour l'instant, on est bloqués ici.

 

Dans la réalité quantique : comme on l'a vu au point précédent, l'espace vide n'est pas réellement vide, c'est un espace dont les informations transmises sont à l'état "vide", "oisif" ou "inactif". L'expansion s'expliquerait par le fait que de l'espace nouveau est constamment ajouté à l'espace existant. Et par définiton, ces nouveaux espaces qui se créent "reçoivent" des informations durant leur premier cycle d'existence, mais ne "renvoient" rien, puisqu'ils n'ont rien à renvoyer. Absorber mais ne rien créer, c'est exactement l'effet négatif de ce que l'on appelle "l'énergie sombre" ! Selon cette définition du réalisme quantique, c'est bien simple, aucune particule ne sera jamais trouvée pour définir et déchiffrer la matière noire et l'énergie sombre...

 

Le phénomène d'intrication quantique est réel !

 

 

Dans la réalité physique : pour Einstein, encore lui, la nature obéit au principe de "réalisme local". En gros, il pense que les réalités d'un système sont des propriétés bien définies et observables et qu'elles ne changent qu'en entrant en interaction avec un autre système. Sauf que lorsque l'on observe les photons (relâchés par un atome de celsium par exemple), la réalité contredit la pratique. En effet, lorsque ces photons sont relâchés, ils tournoient de manière symétrique, sauf que l'un tournoie vers le haut, et l'autre vers le bas. On dit qu'ils sont emmêlés. Sauf que la Nature ne peut créer les deux photons au même moment : il faut attendre d'en mesurer un pour définir qu'il y en a un autre qui tournoie à l'opposée en symétrique. Et cet autre peut être suffisamment loin pour qu'aucun signal même circulant à la vitesse de la lumière puisse les connecter. Bref, la physique classique connait ses limites pour expliquer ce phénomène !

 

Dans la réalité quantique : la réalité quantique admet le phénomène d'intrication quantique comme réel et sûr. Cependant, cela ne lui permet pas de tout expliquer. Essayons, toujours grâce à une analogie avec l'ordinateur. Dans cette réalité, deux photons fusionnent lorsque leurs programmes respectifs sont les mêmes. L'un tournoie vers le haut et l'autre vers le bas ce qui déplace deux pixels, sur l'écran géant qu'est l'univers. La distance n'a pas d'importance, puisque le processeur n'a pas besoin d'aller sur le pixel pour le modifier...

 

Oulala ! Votre cerveau a bien chauffé ? Mais est-ce réellement votre cerveau, ou vivez-vous déjà dans un monde entièrement virtuel ? Non, on rigole, on va vous laisser digérer tout ça et on vous offre de vous détendre avec ces images vertigineuses sur l'Univers, vous allez vous sentir tout petit !

 

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