Voici les 10 suicides collectifs les plus perturbants de notre histoire !

Les morts prématurées, ce n'est pas ça qui manque dans l'histoire de l'humanité. Mais on s'intéresse peut-être trop souvent aux meurtres et aux génocides. Qu'en est-il des suicides de masse ? Voici 10 histoires vraies de suicides commis par des groupes entiers !

 

1. La noyade plutôt que le meurtre et le viol !

 

Source : wallpaperup

 

En 1945 dans le village de Demmin en Allemagne, les forces soviétiques attaquent. Lorsqu'ils pénètrent dans les habitations, certains soldats commencent à abuser du corps des femmes pour ensuite les tuer. Pour éviter ce sort, les habitants s'attachent les uns aux autres, et se jettent dans la rivière . Plus de 1000 morts seraient à déplorer...

 

2. Le suicide du Temple du Peuple

 

Source : derives-sectaires

 

En 1978, une secte nommée la congrégation du Temple du Peuple au Guyana voit plusieurs de ses membres tenter de s'enfuir à l'occasion du passage d'un membre du congrès de Los Angeles. Des bras armés de Jones, le leader de la secte, viennent tirer dans le tas, et tuent 5 personnes dont le membre du congrès. Un journaliste en réchappe toutefois.

 

Jones prend une décision : en finir avec sa secte plutôt que de les voir partir.

Il convainc ses fidèles que les Soviétiques sont responsables de l'attaque et vont les transformer eux et leurs enfants en fascistes au cerveau lavé. Il les invite à boire une boisson empoisonnée et à la faire boire à leurs enfants. 909 habitants de la ville de Jonestown  meurent ce jour là.

 

3. Le rituel de mort du Bali

 

Source : wikimedia

 

En 1906, le Pays-Bas intervient au Bali à Denpasar. Pour éviter d'être capturée, la population décide d'accomplir le rituel du Puputan. Hommes, femmes et enfants avancent vers les troupes néerlandaises pour ensuite se poignarder et se massacrer entre eux face à l'ennemi. Les femmes quant à elles, lancent par la même occasion leur bijoux et argent aux envahisseurs, se moquant d'eux. Les soldats du Pays-Bas assistent ébahis au massacre.

Plus de 1000 Balinais meurent dans ce carnage !

 

4. Le feu et le combat

 

Source : indiaopines

 

En 1303, le sultan Ala-ud-Din Khiji, sultan musulman de Delhi, assiège le fort indien de Chittor. La reine du fort décide alors d'accomplir la tradition du Saka. Il s'agit d'une pratique visant à sauver l'honneur des deux sexes : les femmes et les enfants s'immolent tandis que les hommes vont au combat vers une mort certaine. Ainsi, elle guide les 700 femmes du palais et leurs enfants vers le bûcher, afin de les protéger de la lubricité de l'armée ennemie de Delhi.

Leurs femmes mortes, les hommes n'ont plus de raison de vivre et se jettent à cœur perdu au combat. Ils sont massacrés jusqu'au dernier.

 

À Chittor, deux autres Saka (aussi appelé Jauhar), sont commis en 1535 et 1568, ce qui mit fin à la lignée des Rajput (lignée indienne qui suit ces traditions et rituels).

 

5. L'honneur des Teutonnes

 

Source : arrecaballo

 

En 102 avant notre ère, la bataille d'Aquae Sextiae a lieu au sud de la France actuelle. Elle oppose les armées des Teutons aux romains ! Le roi teuton est défait et capturé. Les Romains imposent les termes de leur reddition : 300 femmes mariées teutonnes doivent être livrées aux troupes de Rome comme esclaves ! Lorsqu'elles ont vent de cette condition, les Teutonnes supplient le consul romain d'être clément et de les laisser servir aux temples des déesses Cérès et Vénus ! Les romains refusent.

 

Les futures esclaves ne se résignent néanmoins pas à leur sort et tuent leurs propres enfants. Elles sont retrouvées le matin suivant, toutes mortes : elles se sont toutes entre-tuées. Cet acte est resté dans les légendes romaines relatant la bravoure germanique !