Cette macromolécule pourrait éliminer le virus Ébola et bien d'autres

Et si les virus tels que Ébola, Zika, la dengue et la grippe étaient complètement éradiqués ? 

 

Source photo : getty

 

Comme nous vous l'avions annoncé dernièrement, il se pourrait que la création chimique d'IBM et l'Institut de Bioingénierie et de Nanotechnologies de Singapour, réponde amplement à la question précédemment posée, d'après la revue de presse américaine Fast Company. 

 

Selon James Hedrick, l'un des chercheurs aillant participé sur le projet mené au Centre de Recherches IBM Almaden basé en Californie, cette "macromolécule" pourrait protéger les gens faces à de différentes menaces de virus.  

La mutation rapide des virus est le plus gros obstacle auquel les scientifiques ont à faire face ; alors, le Docteur Hedrick et son équipe ont créée une molécule capable de s'accrocher aux glycoprotéines présentes sur les virus, ainsi cette molécule empêchera les virus d'entrer en contact avec les cellules du corps humain. 

 

Cette molécule permettrait également de créer une deuxième barrière défensive, grâce à sa capacité de s’accrocher aux cellules immunitaires, ce qui empêcherait donc les virus d'affecter ces cellules. "Nous pouvons donc agir sur les cellules plus vite que les virus, ce qui nous donne une longueur d'avance," a confié le Docteur Hedrick. 

 

Par ailleurs, même si le virus parvenait à franchir ces deux barrières, la molécule pourra tout de même empêcher le virus de se reproduire, en neutralisant l'acide présent dans le corps humain. Ceci pourrait donner naissance à un vaccin dit "temporaire", pour soigner les personnes déjà infectées. 

 

D'après Fast Company, la macromolécule a été créée sur un ordinateur, et a ensuite fourni des résultats concluants pour agir face aux virus tels que Zika, Ébola, la dengue, le virus de Marburg, le chikungunya, l'entérovirus 71 et l'herpès. 

 

Docteur Hedrick a ajouté qu'il y aura prochainement en vente dans les centres commerciaux, "une sorte de lingette, une sorte de désinfectant, pour minimiser toute contamination en attendant la commercialisation du traitement."

 

Voilà une découverte bien réjouissante !

 

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