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Vous n'êtes pas seulement en train d'uriner de l'alcool pur ou de l'alcool traité. Votre corps veut enlever les mauvais éléments qui sont en vous au plus vite !
Pour déclencher le mécanisme qui vous laisse savoir qu'il est temps d'aller aux toilettes, votre corps récupère toute l'hydratation qu'il peut et l'envoie vers votre vessie. C'est pour ça que boire vous rend déshydraté. Et c'est surtout pour ça que vous avez mal à la tête le lendemain. Votre cerveau est le premier lieu du corps à ressentir les dégâts causés par la déshydratation. N'allez jamais vous coucher avant d'avoir avaler de l'H2O pure !
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Okay, donc c'est comme ça que vous devenez bourré. Mais qu'est-ce que la science médicale et biologique ont à dire sur la manière dont l'alcool fait effet sur nous ?
Les réponses sont principalement toutes dans notre tête. Littéralement.
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L'alcool embête nos neurotransmetteurs qui vadrouillent dans le cerveau et dirigent nos émotions conscientes et inconscientes, nos actions et nos capacités motrices.
Le glutamate et le GABA, tous deux neurotransmetteurs, traduisent l'alcool en mouvements et paroles lents ce qui est typique de l'état au-dessus de "pompette". Les changements sèment le chaos sur le cervelet. C'est la partie arrière de notre cerveau qui est le centre de l'équilibre et du mouvement. Embêter le cervelet signifie une marche beaucoup moins digne et beaucoup plus de trébuchements et de titubements.
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Le cortex cérébral sur le devant du cerveau devient simultanément dépressif à cause de l'alcool. Ralentir les choses là-dedans signifie une parole moins claire et moins d'inhibition dans ce que vous dites ou faites.
Ce qui veut aussi dire que vos capacités à traiter les informations venant de vos yeux, oreilles et autres capteurs sont troubles.
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L'hypothalamus et la glande pituitaire (la petite partie rouge sur l'image) deviennent aussi dépressifs à cause de l'alcool et ralentissent.
Normalement, ils contrôlent la libération d'hormones. Et sans leur vigilance, vos hormones sont libres de s'accrocher à n'importe quel beau/belle gosse qu'elles croisent. Entre le jaillissement d'hormones et la dopamine aussi relâchée par la présence d'alcool, vos centres de plaisir sont assez contents. C'est à la fois pourquoi vous aimez boire et pourquoi vous voulez séduire tout ce qui bouge après avoirpris quelques verres (malgré le fait que, ironiquement, l'alcool limite aussi nos capacités motrices dans la chambre).
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Pendant ce temps, il y a une pression de la présence d'alcool dans le corps qui affecte le système. En résulte une répression de la moelle surtout pendant que votre corps essaye de traiter les parties toxiques de l'alcool (et les toxines créées en les détoxifiant).
Cela signifie que votre rythme cardiaque est diminué et que votre température corporelle est éteinte. Même votre respiration est ralentie quand le corps essaie de réguler l'énergie en détoxification. Les deux combinés signifie que la moelle est simplement en train de mettre votre corps (et donc vous) en veille pendant qu'elle s'acharne à gérer les éternels problèmes que vous engloutissez au bar.
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